wattie

vivre ou survivre?

Mardi 21 novembre 2023 à 8:58

Aucun continent n'est épargné par les catastrophes dûes au dérèglement climatique (tempêtes , pénuries d'eau , inondations , incendies ...) . l'année 2023 a été la plus chaude depuis 125 000 ans . ce n'est pas dans 100 ans que nous allons dépasser les 1 C° mais au rythme où nous allons ce sera dès 2030 !

"  NOUS NE SOMMES PAS PREPARES AUX IMPACTS EXTREMES ET AUX SURPRISES
  QUI NOUS ATTENDENT "



la moitié de la population mondiale vit déjà dans des zones à risque (3 milliards d'habitants de la planète) et seul une partie de la planète sera habitable dans l'avenir.
certains pays ont déjà dû déclencher des procédures d'urgence. le vietnam déplace déjà des paysans vers des villages à flanc de montagne. l'indonésie a commencé des travaux de relocalisation de sa capitale (10 millions d'habitants) . mais toutes ces actions ne sont que des réponses aux conséquences du dérèglement climatique ; rien n'est fait pour s'attaquer aux causes responsables de ce dérèglement. toutes les discutions internationales perdent leur temps à discuter du climat lui même mais aucune réflexion globale sur le développement n'a été portée. le Giec alerte aussi sur des arrivées massives de nouveaux migrants "réfugiés climatiques" doublée d'une mortalité de masse dans les pays où la population est trop pauvre pour pouvoir se déplacer.

extrait d'un article de la revue témoignage chrétien du 16/11/2023

 
 

Vendredi 11 juin 2021 à 18:10

 
Nos retraites toujours en danger
 
 
on nous montre l'allemagne, encore, pour nous repousser l'âge légal du départ à la retraite à: 68ans!
 
 
les propositions de nos représentants politiques de nous faire travailler de plus en plus tard ou encore d'augmenter toujours plus notre démographie nationale ou encore faire entrer toujours plus d'immigrer sur notre sol national pour qu'il y ai toujours plus de cotisants que de bénéficiaires des retraites est révélateur du manque de vision sur le long terme. Comme si notre durée de vie était extensible, comme si notre territoire pouvait indéfiniment accueillir toujours plus d'immigrés.
 
c'est comme pour notre économie ou tout repose sur la croissance, le "consommer toujours plus" (avec le confinement on voit bien tout le problème que pose dans ce système la non consommation ou du moins la réduction de la consommation des ménages) comme si notre planète pouvait nous fournir indéfiniment toujours plus de matières premières pour alimenter nos productions et accueillir toujours plus de nos déchets.
il serait temps de travailler sur la stabilisation des choses, le partage de l'existant, l'obtention de l'équilibre. il serait tant de comprendre qu'il y a des maximums de richesses à ne pas dépasser, que pour la retraite, il faudrait peut être penser à instaurer un maximum de montant des pensions à ne pas dépasser, quelque soit les cotisations réalisées pendant la vie active (les plus riches des actifs auront de toute façon toujours la capacité d' épargner pour assurer leur bonus de pension). il faudrait aussi sûrement rétablir une réelle progressivité des taux d'impositions en rapport avec ce que l'on gagne d'argent. certains hurleront au communisme mais il y a au moins cela de réaliste dans cette doctrine : le collectif, le commun.
nous vivons tous sur la même planète or rien n'est infini, tout à une fin de vie, même les atomes. donc si l'on prétend vouloir vivre en paix et en collectivité alors le partage et l'équilibre ressources/productions/consommations devient vitale et, si l'on veut aller jusqu'au bout des choses, certaines productions et activités devraient même cesser pour assurer l'indispensable.

Mercredi 20 février 2019 à 5:43

ils parlent des gilets jaunes comme s'il s'agissait d'un mouvement homogène. ils disent "une partie des ... " mais veulent que nous pensons "tous les ...". qu'ils aillent se faire foutre avec leurs histoires de juifs et de racisme; ce talisman toujours brandi pour nous détourner des débats de fond. faudrait pas déranger les places (les classes), refonder la machine; le monde va si bien.

Mercredi 4 avril 2018 à 21:49

"faire grève en rendant les transports gratuits est illégal", "dire que les grévistes sont pris en otage est un scandaleux abus de langage" ok. mais alors pourquoi ne pas contourner cette illégalité en organisant cette grève autrement? pourquoi n'y aurait il pas uniquement les contrôleurs(euses), les guichetiers(ières) et tout autre service dont les fonctions sont la vente des billets et le contrôle de l'achat de ces derniers? ainsi, face aux nombreux guichets vide, les usagers pourraient dire qu'ils n'ont pas eut la possibilité de se procurer de billet si un non grévistes les contrôlait (pour les automates ils pourraient également dire qu'ils n'avaient ni monnaie ni carte bleues). ensuite, pour ne pas léser les grévistes, les personnels en poste (mais tout de même revendicateurs) pourraient, puisque toujours rémunérés à 100%, se cotiser pour combler le manque à gagner des grévistes et, dans le même temps, ces derniers pourraient faire la quête auprès des usagers (ou ailleurs) pour renforcer le financement de cette grève. ainsi nous verrions du même coup le soutien ou non de la population concernée et cette dernière ne serait plus victime de la grève et ne pourrait plus être considérée comme moyen de pression pour faire aboutir les revendications de celle ci.  si les organisations syndicales veulent de la solidarité nationale, qu'elles réfléchissent aux moyens d'actions qui permettraient une interaction commune entre grévistes ou revendicateurs(euses) et citoyens lambdas qui apporteraient un bénéfice à chacun(e). car ces grèves actuelles, traditionnelles par leurs formes, ne réalisent que des luttes de corporations ; elles ne changent en rien nos sociétés profondément inégalitaires.

Dimanche 18 décembre 2016 à 12:38

Les politiques s'engagent dans la course présidentielle, ils parlent, pour la plupart d'identité,de terrorisme, d'immigration et bien sûre de la dette, mais combien d'écologie? pas grand monde. sans parler de ceux qui, d'un revers de menton, nient les problèmes environnementaux. pourtant d'ici moins de 100ans bons nombres de ressources premières vont disparaître. mais en politique on parle malheureusement plus souvent des conséquences que des causes. car l'immigration généralement est dû aux guerres, à la misère en générale et les guerres sont généralement dû à des problèmes économiques, de quêtes de territoires d'intérêt géostratégiques par leur position géographique qui soit, favorise le transport des marchandises et des matières premières soit parcequ'ils  renferment  des matières premières. or, plus ces matières se feront rares plus les tensions internationales se tendront et plus les guerres éclateront si aucun accord  de partage ne se réalise. Partage voilà un gros mot essentiel bien plus capital que l'identité la dette ou l'immigration qui sont d'ailleurs liés. moins il y a de partage plus il y a d'inégalités, de tensions et au final de guerres et d'immigration.  quant à la pollution et tout ces dérèglements environnementaux n'en parlons pas, nous voyons déjà se réaliser les premières vagues de réfugiés climatiques et ce n'est qu'un début. mais voilà, il est bien plus difficile de mettre de côté sa soit disant souveraineté, sa soit disant identité et sa fortune (individuelle ou nationale) pour se lancer dans la résolution pacifique de ces problèmes que de cibler un adversaire comme l'immigré qui est plus une victime de notre système économique et sa méthode d'enrichissement individualiste ou nationale. comme à son habitude le politique plus motivé par son élection au pouvoir que par sa volonté de franchise lance ses discours de diversions et les masses suivent car il est toujours plus facile de dénoncer l'autre que de se remettre en question. et la remise en question de toute cette économie traditionnelle ne se changera pas en un jour mais l'immigration et les guerres (ou terrorisme qui en est une variante) sont elles évitable dans un tel système?

Réserves prouvées de minerais rapportées à la production en 2015, en nombre d'années de production:   pétrole = 52ans ; gaz naturel = 54ans ; charbon = 110ans ; uranium = 129ans


Vendredi 29 janvier 2016 à 16:38

 
Daesh, bloc identiglaire etc les malfaisants sont aux aboies, y rester sourd et aveugle. "rendre à césar ce qui est à césar", laisser les chiens avec les chiens. pour l'heure, "l'apartheid sociale" a de beaux restes. les malfaisants sont aux aboies, aveugle et sourd devient cérébrale. quand j'ouvre les yeux, les oreilles, je me réjouis d'être où je suis, où j'en suis

Lundi 16 novembre 2015 à 8:16

Lundi 16 novembre 2015 à 8:11

on pourra mettre autant de "sécurité" que l'on voudra on ne pourra pas empêcher le fanatisme de se propager tant que ce système économique continuera sa propre barbarie à travers le monde. on peut pleurer et vouloir se venger de ses morts, c'est humain mais on peut aussi dénoncer ceux ou ce qui exploitent la misère du monde comme ces multinationales qui font produire par des sous traitants dans des conditions inadmissibles moralement mais également suicidaires (puisque ce qui pollue un coin du globe finit par nous retomber dessus et qu'une population affamée finira un jour par suivre celui qui leur promet vengeance). et que dire de nos élus à l'assemblée qui ont rejeté un projet de loi qui devait rendre responsable nos grosses entreprises de leurs sous traitants pour éviter, par exemple, l’effondrement de nouvelles usines par faute de non respect de norme de sécurité et d'hygiène, comme ce fut le cas dans une usine de textile au bangladesh? nos marchandises fabriquées pour des salaires d'un euros par jour qui ne suffisent même pas à vivre autrement que dans des bidonvilles pour que nous puissions consommer plus que de raison et, pire encore, pour que nos chômeurs, souvent eux mêmes victimes de telles externalisation, puissent continuer de consommer. comment croire qu'un tel système ne puisse pas nous éclabousser de barbarie? et pendant ce temps on reparlera de "sécurité" et les grands éviteront de prendre de réelles décisions pour éradiquer les trop grandes inégalités de par le monde. ce monde découpé de frontières obtenues au fil de guerres par des puissants ou vainqueurs d'une époque; ces guerres faites au nom de religions, au nom de patries mais qui, toutes, ne sont décidées que pour des conquêtes de richesses des sols, comme encore aujourd'hui la chine revendique Taïwan au nom de l'histoire alors qu'ils ne pensent qu'au pétrole des fonds marin. retranchons nous dans nos frontières et le mal enfantera toujours. sans compter que, le climat s'y ajoutant, des populations entières n'auront d'autre choix que de migrer, alors qu'ils seront victimes de pollutions datant d'il y a seulement plus de 50ans et dont des principaux pollueurs de cette période, aujourd’hui, ne voudront pas entendre parler d'eux. les frontières c'est la bonne affaire pour ne rien voir de ce qui dérange ou pourrait culpabiliser. mais la planète il n'y en a qu'une qui nous accueille actuellement et nous sommes tous condamnés à y vivre ensemble. alors on fait quoi? on euthanasie ceux qui n'y ont plus leur place, les indésirables ou on partage? là on ne fait ni l'un ni l'autre, on fait juste mine que les miséreux peuvent survivre là où ils sont, même si certains ont déjà les pieds dans l'eau, respirent déjà un air nocif, voient leur environnement se désertifier... on peut toujours dire que celui qui nous attaque est un barbare comme l'allemand en 14 mais la misère ne tombe pas toujours du ciel et l'individu miséreux n'y ait pas toujours pour quelque chose, il est simplement parfois et trop souvent mal né. et puis quoi ben laden n'était il pas bon ami de la famille bush? ces gens là manipulent des masses pour quelles s'égorgent entre elles. mais une fois au pouvoir leur population vit toujours les mêmes inégalités. pourquoi ces attentats ne tombent jamais dans des points stratégiques? pourquoi encore hier il n'y a pas eut d'attaque à l'assemblée, l’Élysée, la bourse de paris ou un autre de ce type? non c'est toujours le citoyen lambda que l'on prend en otage, comme un simple moyen de négoce. la première arme pour éviter le terrorisme c'est l'école, le développement intellectuel de la population. mais quand des enfants travaillent pour aider leur famille à gagner de quoi manger on ne peut atteindre ce but. or ces conditions de vie nos grosses entreprises y contribuent et nos élites s'en rendent complice quand ils refusent de voter une loi qui tente de les responsabiliser. commençons par réclamer de la justice sociale ça pourrait déjà aussi couper l'herbe sous le pied de ces manipulateurs qui rendent des gens fanatique. si un pays en respecte humainement un autre, les habitants de cet autre n'auront aucune raison de suivre un extrémiste et ni aller dans cet autre pays pour s'y faire sauter ou pour y tuer. mais les ventres vides font perdre toute raison, et certains paumés, même le ventre plein s'y associent pour se trouver un but. et puis quand on cesse d’exploiter un sous traitant en lui demandant des prix toujours plus bas cet exploitant peux commencer à produire en polluant moins car il aura de quoi puiser dans ses bénéfices pour investir dans des moyens de production plus propre. mais notre système libérale pousse à cet logique du toujours moins cher pour toujours plus de profit. et ce profit n’étant pas partager à sa juste hauteur il se concentre de façon expansives et de plus en plus de gens on de moins en moins à se partager et cela autant à l’échelle nationale qu’à l’échelle mondiale. le problème ne se résoudra donc pas autrement qu’à l’échelle mondiale mais tant que les possédants ne voudront rien lâcher les tensions ne pourront que s’étendre et les conflits armés seront toujours plus menaçants et s’ils éclatent alors l’humanité aura encore perdu du temps et gaspillé des vies.

Dimanche 20 septembre 2015 à 13:08

 

 

 
Plutôt que d'avoir les yeux rivés sur les migrants nous observions ce petit 1% qui, seuls, sont les grands gagnants de ce système économique mondial inégalitaire qui se joue des frontières dont on s'obstine à vouloir maintenir alors qu'aucun mur ne retiendra les masses d'individus qui, toujours plus nombreux, fuiront la misère qu'engendre ce système qui par  la priorité qu'il donne au profit sur l'humain, engendre des guerres et de la pollution qui rend invivable de plus en plus de secteurs de notre planète et font fuir les gens qui y vivent.


Les 1 % les plus fortunés posséderont bientôt la moitié de la richesse mondiale

Le Monde | 19.01.2015 à 05h15 • Mis à jour le 19.01.2015 à 20h07

 
 
Un bidonville de New Delhi.

L'ONG Oxfam publie, lundi 19 janvier, une nouvelle étude, consultable en ligne, révélant l'ampleur des inégalités dans le partage des richesses sur la planète. Selon ses calculs, réalisés à partir de données fournies par le Crédit Suisse, la richesse cumulée des 1 % les plus riches de la planète dépassera bientôt celle détenue par les 99 % restants.

Selon Oxfam, « la part du patrimoine mondial détenu par les 1 % les plus riches était passée de 44 % en 2009 à 48 % en 2014, et dépasserait les 50 % en 2016 ». Cela signifie que s'ils continuent à s'enrichir, ils posséderont plus que l'ensemble des autres habitants de la planète réunis. La quasi-totalité des 52 % de patrimoine restant sont aux mains des 20 % les plus riches. « Au final, 80 % de la population mondiale doit se contenter de seulement 5,5 % des richesses », estime le rapport.

ACCÉLÉRATION DES ÉCARTS

La publication de cette étude intervient à quelques jours de l'ouverture, mercredi, du forum économique mondial de Davos (Suisse), coprésidé par la directrice générale d'Oxfam, Winnie Byanyima. Selon elle, « l'ampleur des inégalités mondiales est tout simplement vertigineuse ».

« Le fossé entre les grandes fortunes et le reste de la population se creuse rapidement », poursuit-elle. Selon l'étude de l'ONG, entre 2010 et 2014, la fortune des 80 personnes les plus riches a augmenté de 600 milliards de dollars tandis qu'elle a diminué pour la moitié la plus pauvre de la population. Aujourd'hui, ces 80 personnes se partagent le même montant de richesses que 3,5 milliards autres.

Ces inégalités devront, selon Oxfam, pousser les dirigeants internationaux à s'attaquer « aux intérêts particuliers des poids lourds qui font obstacle à un monde plus juste et plus prospère ».

Lire aussi : Les revenus des plus riches sont dix fois plus élevés que ceux des plus pauvres

Mercredi 1er avril 2015 à 21:20

"on est plus de 50 à essayer d'exister sur une tête d'épingle. l'Etat, c'est devenu une misère. y a plus d'argent,y a plus de puissance c'est quoi, du pouvoir sans puissance? la question est inévitable lorsque le pouvoir de l'Etat d'hier semble s'étioler devant celui, aujourd'hui, de l'entreprise ou de la finance. on amuse la galerie avec nos réformes structurelles, deux décrets sur trois sont étouffés dans l'oeuf. les ministres ne sont que des pions interchangeables, un jour dans un ministère, le lendemain dans un autre [...] les intérêts personnels à court terme -des élections municipales, un prochain mandat - semblent ainsi l'emporter sur l'intérêt général ou une vision politique à long terme.


ce pays vit dans un état permanent de catastrophe larvée et de souffrance . et nous y sommes pour quelque chose.

le rapport entre gouvernants et gouvernés repose sur le couple plus fondamental délégation-confiance. [...] en donnant mon vote je vais "soutenir [...]
Il arrive que le bon sens du peuple ait une vraie influence sur des prises de position qui seront celle des gouvernants. en voici 2 exemples: en 2006 le Contrat Première Embauche [...] le gouvernement s'est entêté alors que toutes les organisations syndicales avaient dit qu'il fallait traiter le sujet autrement. s'ensuivit un mvt social très important, surtout des jeunes qui percevaient bien qu'ils étaient les premières victimes de ce dispositif puisqu'on précarisait ainsi leur entrée sur le marché du travail. il fallut faire marche arrière alors que la loi avait déjà été votée [...]
plus récemment, le sujet de l'écotaxe, qui a suscité les manifestations des "bonnets rouges" en bretagne, a fait aussi l'objet d'une marche arrière. ce recul coutera très cher aux finances publiques dans les années à venir, et l'écotaxe ne permettra plus d'accompagner la transition énergétique, telle qu'elle était initialement prévue. autant dans l'affaire du cpe, il fallait retirer la loi, autant ici, il aurait fallu la maintenir. pourquoi? dans l'affaire du cpe, la loi était passée à la hussarde, sans consensus. sur le dossier de l'écotaxe, issue du grenelle de l'environnement, il y avait eu de nombreuses concertations, des accords trouvés avec l'ensemble des éléments représentatifs et votés.

[...]l'expression  concertée d'un collectif doit primer sur la poussée brutale d'une radicalité [...] on avait tenu compte de la situation des régions plus à l'écart et moins riches en structures de transport alternatif comme la bretagne et la région toulousaine. que s'est il donc passé avec les "bonnets rouges"?
 le choix de ce terme faisait référence à une révolte populaire antifiscale en bretagne en 1675 et connotait la lutte du local contre le central [...] de fait ce qui s'est passé n'avait rien à voir avec l'écotaxe, mais était lié aux difficultés de la filière agro-alimentaire en bretagne, et concernait essentiellement la transformation de la viande , porc et poulet surtout. l'écotaxe, qui n'était pas encore mise en place, était accusée de mettre à mal cette filière, alors qu'il eût été plus juste de pointer l'incapacité à anticiper la fin des aides à l'exportation de poulets congelés, annoncés depuis longtemps. on peut dire la même chose à propos de la filière porcine. l'objet de l'écotaxe était de remettre en cause un certain nombre de fonctionnement : quand le porc breton prend le camion pour se faire abattre en allemagne pour gagner quelques euros à la carcasse et que cette carcasse revient en bretagne pour être transforméee, on peut se poser des questions sur le modèle économique concerné.
on est donc devant un rapport gouvernants - gouvernés très conflictuel alors même que le processus de concertation qui a conduit au vote de la loi a été correctement mené.

[...] ces dernières années, des échéances électorales ont donné lieu, pour la droite comme pour la gauche, à des votes sanction qui révèlent une crise de confiance. ainsi une grande part des gouvernés, ou des citoyens- quel que soit leur niveau social- vont accorder leur confiance à des gouvernants, en espérant des résultats immédiats, alors même que la situation induit que ceux-ci ne peuvent venir qu'à terme. la confiance envers les gouvernants peut donc se perdre très rapidement.

tiré de la revue Christus
d'avril 2015 sur le thème "gouverner, enjeux spirituels http://www.revue-christus.com/thumb.php?x=176&y=267&img=upload/PJ/1426677893.jpg

Lundi 19 janvier 2015 à 11:22

Plus que le terrorisme
c'est contre les guerres et les violences sous toutes les formes
que les populations devraient manifester.

le terrorisme vient de terroriser. la guerre officielle, celle des Etats qui en ont les moyens, terrorisent tout autant que les dits terroristes (la guerre du vietnam avec ces bombes au napalms qui brûlaient des villages entiers femmes et enfants compris, le gaz moutarde des tranchées, les violes, le pillage et les tortures qu’essaiment toutes les guerres). le terroriste, c'est le soldat du pauvre. comme le dit un slogan: qui sème la misère récolte la colère. tant qu'il y aura des exclus il y aura des révoltés. l'exclusion créé la misère (sociale et /ou psychologique) cette misère est le terreau où pourront recruter des mouvements extrémistes de tout poils (politique ou religieux peut importe de toute façon tout cela n'est qu'un masque de communication, de propagande pour donner un sens à leur guerre. mais au fond, il ne s'agit que de volonté de prise de pouvoir, de conquête. si l'on veut réellement lutter efficacement contre la terreur il faut choisir la solidarité plutôt que la compétition. or notre monde choisi depuis perpète la compétition via l'économie libérale qui créé du même coût de l'exclusion (rentabilité et prise de bénéfice voulus toujours croissants oblige). prise de richesse croissante au profit d' une minorité; le partage n'existe pas et passer un seuil de fortune on ne peut plus croire que celle ci ait été acquise honnêtement. la fortune des uns va forcément au dupent d'autres.c'est la même chose pour les ressources certains pays gaspillent pendant que d'autres manque de trop. les Etats s'accordent pacifiquement tant qu'ils trouvent des ententes commerciales, tant qu'il reste des marchés à conquérir.

A partir du moment où l'on emploi le mot conquérir peut on réellement parler de paix?

Mardi 6 mai 2014 à 21:27

 La nation est un problème, l'Europe est la solution

Vendredi 18 avril 2014 à 8:58

 le front national défend les frontières nationales pour lutter contre l'immigration facteur, selon lui, de l'exploitation des salariés. si l'arrivée d'immigrés, fragilisés par leur situation d'origine, permet de concurrencer, par le bas, le niveau de condition salariale, ce qui reste à prouver dans un pays où se pratique le smic et les conventions collectives, le nationalisme ne s'oppose pas à l'exploitation de peuples pour le profit d'autres. le discourt qui prétend préférer voir se développer les immigrés dans leur pays d'origine n'est qu'une vaste hypocrisie puisque, dans le même temps, sous couvert de non ingérence et de souveraineté des peuples, aucune action n'est souhaitée pour que ces peuples puissent s'épanouir et surtout pas pour acheter leurs productions à des prix plus élevés qui, pensent ils, pourrait remettre en cause notre niveau de vie. même de gaulle (dont j'aime son côté antiparti) ne l'a pas fait (voir sa franceafrique) dieu sait pourtant qu'il aimait parler de liberté des peuples. comment croire à la souveraineté d'un peuple quand celui-ci vit sous un régime autoritaire et exploiteur dont les dictateurs sont soutenus par des pays puissants dont la france fait partie? les frontières ne permettent pas le bien être mondial, ce système de nations est complice du capitalisme bien plus encore que le mondialisme. l'europe actuelle souffre d'ailleurs de ne pas être encore un véritable gouvernement européen mais un rassemblement de nations qui luttent non pas pour un bien européen collectif mais pour un bien supposé de leur nation respective; elles ne jouent pas le jeux du collectif, chacune s'efforce de tirer la couverture vers elle tout comme en intra nationale les classes sociales ou corporations et autres lobbies défendent leurs propres intérêts en faisant mine de lutter pour le bien commun (on l'a très bien vu pour la sncf lors de la réforme des retraites sous sarkozy).  quant au communisme et autre cgt, ont se souviendra du sort qu'ils ont fait aux autonomistes ou encore de leur absence d'intérêt des chômeurs avant l'apparition d'organisations comme AC! pour nous rappeler qu'ils ne sont là que pour faire marcher au pas "unifié" les salariés  dans une politique productiviste (et les non salariés alors? que deviennent ils?).  qui propose un revenu minimum garanti sans condition de recherche d'emploi? seul un monde fédéralisé avec des minimums vitaux, des salaires et une fiscalité harmonisés peut nous permettre de vivre dans une paix durable, de combattre efficacement toute exploitation des populations et de faire disparaitre, à long terme, les inégalités abyssales que nous connaissons aujourd'hui entre les individus. le mondialisme humaniste est l'orientation qu'il faut prendre même si les débuts seront difficiles car le but est honorable. par ailleurs, un régime nationaliste n'a jamais empêché les nationaux d'échapper à la misère ni d'échapper aux inégalités. traditions, identité sont des leurres qui implantent des frontières dans nos têtes et qui perpétuent des inégalités entre hommes et femmes, entre individus tout court ne serait-ce que dans les pays dits religieux, au nom des traditions sont aussi perpétuées des souffrances animales mais aussi humaine. l'individu nait libre et doit le rester. s'il existe une identité c'est celle de l'individu et non celle des masses. que chacun se juge soi- même plutôt que de juger l'autre. il est démonstratif que l'on puisse parfois se sentir plus libre dans une ville que dans un village.  un monde fédéralisé où la richesse des uns ne ferait pas scandal aux plus bas revenus est possible si l'on accepte de limiter le niveau de richesse, si l'on se scandalise du fait que des personnes puissent être propriétaire de plusieurs habitations quand d'autres n'ont pas même un toit,  si l'on se scandalise que des stars puissent collectionner des voitures tout en chantant la bohème et s'exiler pour échapper aux recettes collectives quand d'autres mangent à la soupe populaire. chanter la bohème et vivre dans ce luxe devrait faire rougir de honte, proner le nationalisme et tenter de ne pas participer pleinement aux recettes de l'Etat en plaçant de l'argent en suisse devrait faire rougir de honte. mais tant que des émissions comme gagner des millions ou autre jeux de lotterie feront recette, le scandal n'éclatera jamais.   combien de milliards faut il à un individu pour qu'il se sente rassasié? une quantité infinie car l'humain est ainsi, un puits sans fond. c'est donc au pouvoir politique de prendre le courage juste et de s'affranchir des lobbies mais aussi de brider son propre appétit pour instaurer ce plafond. et comme la plupart des choses du domaine économique et sociale que l'on veut appliquer efficacement et justement, il faudra que ce plafond devienne universel. c'est vers cet universalisme qu'il faut tendre. mais ça ne se fera pas d'un bon de géant, l'humanité devra entretenir sa patience ; chose bien difficile dans cette ambiance de zapping et de politique électoraliste de court terme. il parait que les français sont attaché à l'image royale du président et son folklore protocolaire, moi je préfère un président à l'image simple libéré de tout protocole mais à l'esprit royal; la noblesse dans l'âme plutôt que dans la forme.

Jeudi 13 décembre 2012 à 12:07

"il est de plus en plus facile d'aller en prison. des voleuses de couches au géant casino, des sdf prompts à subtiliser des flasques de wiskiy, des chauffards abonnés à la conduite sans permis... depuis l'instaurations en 2007 des peines planchers, des récidivistes d'un nouveau genre ont fait irruption dans les prisons françaises. auteurs de petits larcins et petits deals à répétition ont aujourd'hui leur place derrière les barreaux.

[autrefois, on côtoyait des délinquants professionnels, des casseurs, des braqueurs. et puis on a vu arriver les dealers, les mômes qui vendent 100 grammes de shit pour rapporter à manger, les types ivres qui font des crises en pleine rue...
on y trouve des malades psychiatriques, des chômeurs, des sans papiers, des syndicalistes. c'est un système qui sert désormais à gérer les problèmes sociaux.]

attention aux idées reçues. 80% des personnes écrouées restent enfermées moins d'un an, les détenus passent en moyenne 9 mois sous les verrous. parmi cette foule disparate, les assassins ne sont qu'une infime minorité. les homicides volontaires ne représentent, de fait, que 6% des condamnations.

[contrairement au discours politiques et médiatiques, les prisons américaines sont remplies, non de criminels dangereux et endurcis mais de vulgaires condamnés de droit commun pour des affaires de stupéfiants,cambriolages, vols ou simples troubles à l'ordre public, pour l'essentiel issus des fractions précarisées de la classe ouvrière] relevait le sociologue lo¨c wacquant dans "les prisons de la misère".

[la prison demeure la sanction des pauvres ... aujourd'hui les petits cambriolages et autres délits de ce genre sont bien plus punis que les délits financiers commis par les cols blancs]

l'enfermement est il au moins efficace? parvient il à protéger la société et à favoriser la réinsertion des délinquants et criminels à leur sortie?
les statistiques ... en juin 2012 par un collectif de professionnels du monde judiciaire et de chercheurs, se passent de commentaire. parmi les personnes sortant de prison sans aménagement de peine, 63% font à nouveau l'objet d'une condamnation dans les 5ans qui suivent leur libération. ... à l'inverse, les peines exécutées ou achevées en milieu ouvert ont démontré une plus grande efficacité.

[quand on sort on a qu'une idée, c'est de se venger. quand un type fait une tentative de suicide, s'il se loupe, on le met au mitard pour le punir... les gens sortent avec la haine chevillée au corps.la pire des choses à faire pour un être humain c'est de le déposséder de son pouvoir d'être auteur de sa vie ... la prison est un lieu où l'on apprend aux enfermés à n'avoir aucune responsabilité, on les infantilise. c'est paradoxal, quand on veut leur donner  le sens des responsabilités]

et son coût! le budget de l'administration pénitentiaire pour l'année 2012 ... l'équivalent d'environ 40% du budget de la justice.
quant au plan de constructions de nouveaux établissements voté sous le gouvernement précédant, il est supérieur d'un milliard d'euros (3.5).

[la collectivité est plus protégée par l'insertion que par l'expulsion]

au canada,... certains condamnés purgent leur peine hors prison, en bénéficiant d'un suivi renforcé (mesure de la probation) . selon une étude américaine de 2007, le taux de récidive est plus important quand la peine a consisté en une incarcération que dans le cas d'une probation. de 59% dans les quatre ans qui suivent la libération, il chute à 33.5%.

[les personnes incarcérées pour délits liés aux drogues sont très majoritairement des usagers contrairement à ce qui est dit]

ainsi, le portugal tolère la détention de n'importe quelle drogue, pour un usage personnel, dans des quantités équivalant à 10jours de consommation. 10 ans après, grâce à la mise en place de commissions de dissuasion, les résultats sont prometteurs: les 15-20ans consomment moins et la petite délinquance liée au trafic a baissé.

[la prison ... non seulement ne résout rien, mais elle aggrave potentiellement l'état psychique et la situation sociale du condamné. la question de la réparation doit être mise en avant dans le dispositif de la sanction]

(texte extrait de l'enquête paru dans le trimestriel regards http://www.regards.fr/ d'hivers 2013 sous le titre provocateur : prisons :faut il les fermer?)

Mercredi 7 mars 2012 à 20:58

Qui l'eu cru, c'est en Europe, de l'atlantique à l'oural, pourtant le continent le plus paisible, qu'il y aurait le plus de mafias. Pire encore , ces mafias depuis ces dernières années ne cesseraient d'affirmer leur puissance. Pourquoi?

 

Le coût du blanchiment d'argent:

Depuis les mesures prises aux USA pour durcir les conditions de blanchiment d'argent, de nombreuses mafias se sont rapatriées sur le continent  européen où elles étaient déjà fortement implantées depuis la chute du communisme (le passage brutale d'une société administrée à une société libérale favorise l'implantation des mafias tout comme le capitalisme sauvage, la culture de clans, les troubles politiques comme les guerres civles ou les révolutions...)

Mais aussi grâce aux paradis fiscaux.

 

La crise:

 Lors de pénurie de liquidité, les institutions financières en difficulté se montrent beaucoup moins regardantes sur la provenance de l'argent de leurs déposants, signalerait un rapport des services secrets italiens (Ce rapport alerterait aussi sur le fait que certaines institutions risqueraient d'être prises sous contrôle mafieux et ainsi donner naissance à de véritables banques mafieuses comme ce fut le cas en Russie dans les années 90).

 

La corruption:

Mais les mafias s'exportent aussi grâce à la corruption galopante dans la pratique des affaires et criminalisent ainsi le monde jusqu'à ses élites que la criminologie italienne désigne sous le terme bourgeoisie mafieuse (politique, économico-financière, sportive, du spectacle [les renseigenment intérieurs de France s'inquiétaient d'ailleurs du rapprochement entamé du showbiz avec celui du milieu via la consommation de drogues]...). Cette bourgeoisie mafieuse use d'un discours libéral mais sa logique consiste à profiter de la dérégularisation et de la dérèglementation pour mieux contourner le marché en utilisant ses réseaux criminels.

 

Cette criminalisation du monde officiel n'est plus hélas un phénomène limité à l'Italie; elle se note non seulement dans les autres pays d'Europe ... comme cela peut exister en France à l'occasion de certains grands contrats. Bien qu'il ne s'agissent pas forcément du phénomène mafieux à proprement parlé mais de mécanismes de corruption où des acteurs de premiers plan frayent avec des intermédiaires en tout genres disposant parfois de liens scélérats avec le milieu, cette corruption en France est d'ailleurs facilitée par son système juridique où "le parquet dépendant du pouvoir peut s'inviter dans l'instruction d'affaires délicates pour calmer les ardeur de la justice".

 

Un monde mafieux sans mafias

"Le discours économique dominant préfère occulter cet aspect des choses en parlant de retournement de conjoncture mais les enquêtes du congrès américain permettent de dire que la criminalisation du monde économique dépasse désormais le simple cadre des élites mafieuses. Le FBI soulignait que la crise des subprimes a mis à jour des pratiques mafieuses, mais désormais sans la mafia.

 

                                                                                  L'aubaine de la privatisation des secteurs public:

 

"Depuis 2011, la crise des dettes souveraines en Europe oblige les Etats, sous la pression de ces mêmes forces financières prédatrices qui ont été à l'origine de la crise, à prendre des mesures qui vont toutes dans le sens d'une nouvelle réduction de leur périmètre d'action. Or ces recettes, notamment la privatisation des secteurs publics, quand on les regarde d'un point de vue criminologique, spont aux antipodes de ce qu'il faudrait faire. Elles ont toutes fortement criminogènes et l'histoire des années 1980-2000 témoignent du rôle décisif qu'elles ont eu dans l'essor du phénomène mafieux" ...

"Mais l'idéologie dominante était alors celle de : l'Etat moderne, Etat modeste pour reprendre le titre d'un célèbre essai de Michel Crozier, alors chef de file en Europe de ectte sociologie néolibérale. ... La fraude, depuis la fable des abeilles de Mandeville, n'est pas une question sérieuse chez les néolibéraux puisqu'elle participe même à la création de richesse" (! cette fameuse richesse; ce "tout pour l'argent")

 

"Le plus paradoxal, c'est que si la crise des subprimes a invalidé en théorie la plupart des recttes néolibérales, la crise des dettes souveraines a contraint les Etats à y recourir à nouveau. ... Il est donc à craindre que les Etats, encadrés par la fameuse règle d'or, se retrouvent plutôt enfermés dans une cage dorée qui ne leur donnera plus les moyens de lutter efficacement contre les forces de la prédations privée. ... En témoignent les velléités de retour aux vieilles doctrines périmées de l'Etat gendarme défendues y compris par des esprits étrangers aux sempiternels discours des officines néolibérales de plus en plus relayés par une partie médiatique dominant."

 

 RESTREINDRE L'ETAT AUX SEULES FONCTIONS REGALIENES (JUSTICE,POLICE,ARMEE) SERAIT LA PIRE DES ILLUSIONS POUR COMBATTRE LA MAFIA CAR EN CE DOMAINE, LES SEULES FORCES REPRESSIVES NE SUFFISENT PAS. L'histoire démontre que de nombreux acteurs méconnus ont un rôle stratégique dans la lutte contre les forces de la prédation privée.

Ainsi les agents qui se retropuvent en 1ère ligne face aux logiques mafieuses n'appartiennent pas aux forces répressives: ce sont les services du fisc, de l'inspection du travail ou les services sociaux. Leur efficacité dépende de leur protection statutaire. Qu'en sera t il demain si ces agents sont menacés d'être renvoyés par un petit chef sensible aux injonctions politico-mafieuses?"

ET Dieu sait qu'il y a des détails encore plus infimes "comme l'infiltration des universités pour mettre la main sur certains diplômes (d'architecture, de médecin ou d'avocats par exemple) c'est déjà le cas en Russie où certaines universités rackettent désormais leurs propres enseignants qui doivent s'acquitter du pizzo sous peine d'être licenciés.

 

Partout où ils sont programmés, ces reculs de la puissance publique -indépendament du fait que les atteintes à l'Etat providence ... ont toujours pour objectif caché une réduction du pouvoir démocratique- représentent une étape supplémentaire dans l'accroissement des pouvoirs criminels.

 

         L'enjeu est donc crucial:

 

"LA PERIODE PRESENTE POURRAIT BIEN ETRE LA 1ERE ETAPE QUI, SOUS LA PRESSION DES MARCHES, FERA BASCULER L'OCCIDENT VERS UN DESEQUILIBRE PUBLIC/PRIVE OFFRANT LES CONDITIONS D'UN POSSIBLE TRIOMPHE DES MAFIAS..." C'est donc une partie de bras de fer très inégale mais décisive qui se joueen sordine. La question criminelle (ndlr la sérieuse pas les délinquents de rue) reste évidemment la grande absente des agendas officiels; il s'agit surtout de sauver la monnaie, de trouver de nouvelles économies budgétaires, de rassurer les agences de notation etc...

 

POurtant, de la capacité qui sera laissée à l'Etat pour maîtriser correctement la pression criminelle, en ne se limitant pas à la nécessaire mais insuffisante réponse répressive, dépendra à terme la survie du vivre ensemble et de l'Etat de droit. Pour l'avoir négligée, les Européens ont laissé à partir de 1991 la Russie ... s'enfoncer dans un système illibéral marqué par la domination mafieuse. ... C'est le profil même de la société à venir qui se dessine en cette période de crise. .... Outre ce qui se passe dans certaines banlieues françaises, les évolutions préoccupantes de plusieurs régions, comme la région PACA ou la Corse, subissant depuis quelques années la domination de discrets réseaux politico-économico-criminels, en offrent un avant goût amer."

 

texte tiré de la revue Etudes de mars 2012 "Crise des dettes souveraines et essor des mafias" de Jacques de Saint Victor

Mardi 24 mai 2011 à 20:07

Tant de polémique avec les radars. Sont ce les radars ou certains niveaux de limitation des vitesses qu'il faut revoir ou encore la tolérance de dépassement passée de 10km/h à 5? Car dénoncer les radars sans contester les limitations de vitesse ça reviendrait à souhaiter pouvoir les dépasser impunément non? idem pour la contestation de l'interdiction des détecteurs de radars. Car si l'on admet que les niveaux maximum des vitesses sur les route autoroutes... sont toutes bonnes alors il faut s'y limiter ou assumer la prune et ce qui s'en suit quand on les dépasse consciemment.

L'idéal serait un gps qui, plutôt que de nous indiquer où sont les radars et la limitation de vitesse appliquée sur son parcours, empêche automatiquement son véhicule d'aller audelà de cette vitesse une sorte de limitateur de vitesse automatique en somme ainsi nous roulerions sereins.

Samedi 21 mai 2011 à 12:30

Complot piège ou pas ce qui est sûre c'est que DSK est un récidiviste (http://youtu.be/mn-N7rXg504) en matière de viol et de tentative de viol (et puis ici il y a tout de même des traces de griffures, sperme.. sur la victime:

http://www.rue89.com/2011/05/16/le-texte-plainte-deposee-contre-strauss-kahn-traduction-204138 

et 7 chefs  d'accusations sont à sa charge)donc s'il fini derrière les barreaux ce ne sera que justice enfin rendue et certainement pas une perte pour la gauche anti capitalisme de casino.
  De plus, ceux qui tenteraient encore de défendre DSK (les mêmes qui défendaient hier Polanski?) devraient se dire que sa mise à l'arrêt dans la course à la présidentielle de la République française épargnera de nombreuses femmes qui auraient à coup sûre subi les futures charges de cet homme en rûte incontrôlé renforcé qui plus est de sa toute puissance présidentielle et de l’immunité dont il aurait profité comme Chirac président en a déjà bénéficié.

Quant à la situation humiliante que DSK vit dans cette prison de new york et qui choque nos politiques et bien que ces derniers en prennent note quand ils traiteront des conditions de vie dans nos prisons car cette humiliation, TOUS les prisonniers la vivent.

La justice française devrait prendre exemple sur celle des USA pour ce fait où l'on peut constater que les menottes se passent autant autour des poignets des faibles que de ceux des puissants. Tout comme il ne devrait pas y avoir de prison VIP sur le territoire de la République, la justice doit être la même pour tous et si l'incarcération est humiliante pour un puissant notable, elle l'est tout autant pour un faible inconnu.

Si le PS s'attriste de cette actualité ils devraient se soulager de ne pas avoir cautionné d'avantage cet homme pour prendre la tête de notre ETat. Quelle aurait été le visage de la France si cette actualité avait eut lieu avec DSK comme président de la République française? (ah oui, si tel avait été le cas, peut être que ce fait divers aurait été étouffé et que la politique se serait poursuivie de bon train; alors il ne faudrait pas s'étonner de la progression de l'abstention lors des élections).

Mais au fait, qui dans ces sphères de la politique ignorait le récidivisme de DSK? Cela ne semblait gêner personne que ce malade sexuel puisse toujours exercer comme élu ni même se présenter à ces élections présidentielles. Les coups bas sont pourtant courant en politique alors pourquoi ce silence jusque là? Quel homme a t on failli risuer de voir à la tête de notre pays? En politique il n'y a jamais trop de transparence.

Si DSK avait été un simple agent de sécurité, ses méfaits lui auraient fait perdre son droit d'exercer sa profession depuis longtemps déjà.

Décidément je me demande si un jour l'égalité sera établie en cette République de France.

Jeudi 12 mai 2011 à 10:32

Hier j'entends sur BFM business qu'une proposition vient d'être lancer pour créer une bourse de l'eau comme il existe une bourse pour chaque matière première notamment le pétrole pour, est il argumenté faire varier son prix en fonction de l'offre et de la demande autrement dit à la hausse vu les sécheresses qui s'enchainent et son utilisation croissante par l'industrie et l'agriculture (sans parler de l'exploitation du gaz de schiste qui profilfère et "dévore" l'eau tout en polluant par notamment des acides qui y sont mélangés et des risque de remontées de radioactivité dans l'atmosphère.

 

Puis j'entends que l'Etat projète de retirer les panneaux d'avertissement des radars. tiens il m'avais sembler les entendre promettre le contraire lorsqu'ils annonçait qu'ils allaient servir d'avertissement sur une plus longue distance; sous l'occupation allemande il se disait: radio paris ment radio paris est allemand aujourd'hui on remplace allemand par capital et un jour mafia. Oui mafia car jamais deux sans trois et hier le troisième tableau annonciateur de notre futur décidément bien noir fut un enchainement d'analyse sur France 2 dans l'émission "face aux français" où étaient invités Manuel Vals et Jaques Attali qui entre autre parlait que la mafia progressivement s'implantait dans l'économie mondiale pas besoin d'être un grand analyste pour le prédire faut bien que l'argent se blanchisse.

 

et pendant ce temps on polémique sur une porche comme si c'était une découverte que dsk était riche et Ségolène s'est teinte en rousse on vous avait bien dit que c'était une sorcière putain ce que le peuple peut être con trop souvent. eT cette direction du foot qui projetterait d'engager plus de blanc pour miser moins sur les muscle et plus sur la tactique! Je savais pas que la machine à remonter le temps était déjà inventée. mais le foot y a bien longtemps qu'il n'y a plus d'esprit d'équipe puisque tout est carrière donc les joueurs jouent perso pour pouvoir mieux se vendre tient ils devraient se faire côter en bourse comme david bowie.

 

On nous abreuve de nation de collectif d'esprit d'équipe mais c'est de l'aveuglement pour nous faire marcher en rang bien serrer sans rechigner car tout est esprit individuel; toute l'économie est basé sur ce sytème libéral du chacun pour soi de la concurrence sauvage que les noyauteur du système maintiennent par toujours plus de marché déréguler à bas l'Etat! qu'ils disent et tout cela avec leurs fumeuses argumentation que la dérégularisation promet la baisse des prix (pour ne pas dire la baisse de la qualité car il arrive un moment où tout est tellement compresser qu'il faut produire de la merde pour vendre pas cher car la technologie ne fait pas tout sans compter qu'il faut l'amortir si on a le temps avant qu'elle ne soit pompée par la concurrence.

Regardons Obama c'était un beau signe d'espoir hein? Mais Obama est pied et poings lié par ces grands élus ultra libéraux comme l'Europe le fut par Reagan et Tatcher.

 

 

quant à la France elle a beau pleurée de sa misère sociale mais elle à plus souvent voté à droite qu'à gauche cette hypocrite et encore si c'était une droite sociale à la De Gaulle mais non c'est à droite droite et 2012 n'est pas sûre de changer vu les sujets politiques et autres faits divers qui se vendent.

 


Samedi 12 février 2011 à 11:22

La société routière Eurovia vient a été condamnée en mai 2010 par le tribunal des affaires de sécurité sociale qui a reconnu le lien entre le travail d' épandage du bitume et le cancer d'un de ses ouvriers qui en est mort.

Eurovia comme toutes ces entreprises qui ne respectent pas la vie de leurs salariés (et certainement pas non plus l'environnement et donc l'humanité et toute vie sur cette terre) et pour qui seul doit compter le gain financier nie toujours les faits et repassera devant les tribunaux en appel en mars 2011.

"Les ouvriers de cette profession meurent généralement en fin de carrière peu avant les 65 ans (avec le recule du départ à la retraite ils mourront désormais au travail) de cancers des voies aérodigestives, de la peau, de la vessie et non pas des poumons comme l'affirme le patronat de cette profession qui soutient que les ouvriers meurent à cause du tabac ou de l'alcool.


 
                                                         source: mensuel CGT "Ensemble" de février 2011

Jeudi 20 janvier 2011 à 20:02

Un agriculteur de 45 ans en exercice depuis l'âge de 15 ans est mort d'un cancer dû à l'usage de produits chimiques comme les pesticides qu'il répandait dans les champs qu'il cultivait. Ce serait le premier dont sa maladie ait été reconnue comme étant liée aux produits chimiques en question. et donc à sa profession d'agriculteur.

Depuis le début de l'agriculture intensive et de l'utilisation de ces produits chimiques, les principaux syndicats des paysans étouffent le débat sur la dangerosité de leur profession. Va t il enfin y avoir un changement radical de l'utilisation de ces produits qui, ne l'oublions pas finissent dans notre estomac et  contaminent nos sol/rivières/nappes phréatiques et les voisins des champs?

Je retiens, une fois de plus, que certains syndicats se comportent comme des complices du mal.

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