wattie
vivre ou survivre?
Vendredi 22 août 2014 à 11:10
Lundi 18 février 2013 à 20:22
Mardi 28 août 2012 à 20:07
Le satan
Le personnage biblique du satan a une histoire mouvementée. Son nom en témoigne : nous avons deux mots français pour le dire, satan et diable. Avec le temps, la perception de son rôle a considérablement changé.
Dans l'Ancien Testament, en hébreu, le mot satan désigne d'ordinaire l'"ennemi" ou l'"adversaire", au sens le plus courant des termes. C'est l'ennemi au combat (1er livre de Samuel chap 29 verset 4) ou mon voisin qui se tourne contre moi. Dans 3 textes seulement est-il considéré comme un personnage dont le nom indique la fonction, le satan. Ainsi, dans le prologue du livre de Job (1-2), sur le modèle des agents de renseignements dont aimaient se servir les officiels de l'empire perse, il fait partie de la cour céleste et est chargé de faire rapport à Yhwh (Dieu) sur la conduite des humains. Pour exercer sa fonction, il dispose de pouvoirs étendus : il peut provoquer des catastrophes naturelles, des pillages, la maladie ou la mort. Tous les moyens sont bons pour éprouver le coeur humain. ... faire la vérité sur eux, les accuser quand ils ont mal agit, les provoquer même pour vérifier leur fidélité. ...
Dans le Nouveau Testament, Luc est celui qui permet le mieux de voir les différentes traditions qui circulaient sur le personnage. Le satan se rencontre 5 fois chez lui (10,18 ; 11,18 ; 13,16 ; 22,3.31). La première et la dernière occurences ne manque pas d'intérêt. D'abord, en entendant les 72 disciples rapporter qu'ils avaient eu raison des démons, Jésus réagit en ces mots :
Je voyais l'adversaire (satanas) du ciel comme un éclair. (10,18)
Dans ce texte, le satan joue le même rôle que dans le prologue de Job ; il est au ciel, il fait partie de la cour céleste et il est défini comme l'accusateur des humains auprès de Dieu. La dernière mention du satan dans Luc exprime d'ailleurs très bien cette fonction :
Simon, Simon! L'adversaire vous réclame pour vous passer au crible comme au grain. Moi, j'ai prié pour toi afin que tu ne perdes pas confiance (22,31)
Ces deux citations permettent de voir jusqu'à quel point le rôle du satan est perçu, d'en bas, comme une menace. Sa perspicacité sans faille et sa capacité de percer l'intimité des humains en fait un "adversaire" redoutable. De façon paradoxale, il dit un aspect de Dieu qui représente un danger pour les croyants. On comprend donc que la tradition ait eu tendance à accentuer l'aspect négatif du satan, jusqu'à en faire le chef d'un commando de démoins s'attaquant à la santé des humains (luc 11,15 à 19), ou la source par excellence du mal (Luc 22,3). Tout un parcours pour celui qui, à l'origine, était présenté comme un serviteur dévoué de Yhwh).
Diabolos
Le verbe grec diabollô signifie "accuser","dénoncer" ; il a bien ce sens l'unique fois où le Nouveau Testament l'emploie (Luc 16,1). Le diabolos, nom correspondant, est l'"accusateur", l'"adversaire". Dans le Nouveau Testament, diabolos est un autre nom du satanas (transcription grecque de l'hébreu satan). La Vulgate l'a rendu par diabolus, ce qui a donné "diable" en français.
Dans les synoptiques, le diabolos se rencontre surtout dans les récits de Matthieu et Luc sur sa confrontation avec Jésus (Matthieu 4,1à11 ; Luc 4,1à13). A l'origine, dans la Source, il devait jouer le rôle du serviteur de Yhwh qu'on retrouve dans le prologue de Job. Mais aux yeux des deux évangélistes, il devait avoir pris des couleurs beaucoup plus négatives, comme on le voit dans le célèbre récit de Matthieu sur le jugement :
Eloignez-vous de moi, maudits! Entrez dans le feu perpétuel réservé au rival (diabolos) et à ceux de sa troupe. (Mt 25,41)
Le diable subit donc le même changement de sens que le satan, transformation qui a tendance à se généraliser dans le Nouveau Testament.
Votre père à vous est le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. C'était un tueur depuis le commencement, établi hors la vérité, car sans vérité en lui, parlant faux, selon sa nature qui est le mensonge, et du mensonge il est le père. (Jean 8,44)
Ce texte est typique de la tradition johannique, qui identifie le diable au serpent des origines (Genèse 3). Le diable est essentiellement un menteur et un tueur, parceqsu'il a trompé le premier couple et est donc responsable de l'entrée en scène de la mort qui afflige toute l'humanité. L'auteur de la première lettre de Pierre, quant à lui, a eut l'idée de cette image marquante :
Soyez raisonnables, veillez : votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer. (1P 5,8)
Le sens négatif des mots satan et diable est courant et a fortement marqué l'imaginaire chrétien. Il rend malheureusement difficile la compréhension des textes dans lesquels le personnage exprime un aspect essentiel de l'expérience humaine du Tout-autre. Le propre de la rencontre avec cet Ailleurs déroutant, c'est d'apprendre à l'être humain à faire la vérité sur lui-même, à aller au-delà des apparences et des illusions qu'il peut avoir à son propre sujet. Impossible de se cacher face à l'Autre. Cette rencontre est certes libératrice. Mais elle a aussi un côté menaçant, car les humains passent beaucoup de temps à se cacher des autres et d'eux-mêmes. Le diable ou satan, à l'origine, était la personnification d'un aspect de la crainte de Dieu dont parle la Bible, moins peur d'un être mauvais, que désarroi face à l'inconnu qui sait tout sur tous.
J'ai traduit le diabolos de la Source par l'"examinateur". Ce terme me semble important dans la mesure où il donne sa coloration au texte. Dans "la tentation de Jésus" dans le désert (non pas le désert des mille et une nuits, mais le rude refuge des opposants aux régimes en place. Jésus a accepté de se faire plonger dans l'eau à l'appel de Jean? Voilà où ça le conduit, en dehors du système. C'est de là, à partir de la marge, qu'il sera capable de passer le test qui s'en vient.La Source fidèle à son habitude continue son travil de sape de toutes les certitudes et sécurités. L'examinateur se dit qu'il sera sans défense devant lui, à sa merci, comme tous les autres avant lui. Le test peut commencer) ... nous ne sommes pas devant un récit de tentations orchestrées par le "diable", ennemi juré de Dieu et de ses serviteurs et servantes, mais devant un récit d'épreuves, de tests, administrés par un officiel de la cour céleste. Le contexte est le même que celui du prologue de Job. Là, alors que Dieu se réjouissait de la fidélité de son serviteur Job, le satan lui conseillait de cesser de protéger ce dernier, cela l'empêchait de bien faire son travail et de montrer comment le saint homme n'était pas mieux que les autres (Jb 1,8à12). En Luc 22,31, cité plus haut, le même satan voulait secouer les disciples de pied en cap pour en démontrer la veulerie : Jésus avait certes passé le test, mais, selon l'examinateur, ce ne serait pas le cas de ses proches. Dans la Source, c'est avant même que Jésus commence à répondre à l'appel de Jean que l'examinateur veut lui sonder les reins et le coeur. Son hypothèse de travail, c'est que le Nazaréen est bien comme tous les autres et que Dieu serait bien mal venu de lui faire confiance. Dans la scène de la tentation de Jésus, c'est le Dieu vivant qui veut savoir à qui il a affaire avec Jésus. Peut-il avoir foi en lui?
Evidemment, la scène n'est pas rapportée comme s'il s'agissait d'un évènement historique. Si Jésus a été secoué de par sa rencontre avec Jean, il a certes bien pu vivre une épreuve de fond, qui l'a obligé à descendre jusqu'aux racines de son être. Mais ce n'est pas de cela que parle la Source. Elle n'écrit pas une biographie du Nazaréen. ... la première fois qu'elle fait mention de Jésus, elle ne dit de lui que son nom. C'est sans doute étrange à nos yeux, mais ce n'est pas l'homme Jésus qui l'intéresse, mais son sens pour l'existence humaine. ... Les réponse que la Source donne au test qu'elle se formule à elle même sont celles que l'examinateur, désabusé après avoir été si souvent déçu, rêvait depuis toujours de pouvoir rapporter à son patron divin.
Vendredi 25 mars 2011 à 10:19
Puis ajoute le professeur Ali Ekber Toptchibachy "il n'y a pas de missionnaires dans l'Islam. Je n'ai pas le droit en tant que musulman de venir vous dire " soyez musulmans" ... JE NE PEUX PAS PRETENDRE QUE MA RELIGION EST MEILLEURE QUE LA VOTRE. Celà est absolument défendu par le coran ("la signification des rites" de l'alliance mondiale des religions aux éditions désiris)
Samedi 4 décembre 2010 à 15:20
Mercredi 1er décembre 2010 à 21:43
au nom de Dieu les corps meurtris
austérité de la vie pour mieux accepter la mort
au nom de Dieu il ne faut jouir
au nom de Dieu il se fait juge
au nom de Dieu il est tyran
les religions tuent les penseurs
chacune se dit seule vérité
chacun se dit l'unique
qui a ses mains vierges de sang?
tu ne tueras point sauf pour la cause
tu ne jugeras pas il sont là pour ça
ton corps est ta prison il leur appartien
ta sexualité les concerne autant que tes pensées
Mercredi 1er décembre 2010 à 21:28
Parlent les arbres au souffle du vent
sifflent les branches en hivers
frétillent les feuilles en été
contemple la nature s'enchanter
ces herbes folles coiffées par les airs
ces ondes infimes onduler sur l'étang
tantôt par les cygnes tantôt par les vents
la vie est en tout et la vie est sacrée
aux chants des oiseaux la nature étincelle
se rassemblent les fées aux beautés éternelles
aux feux des solstices s'élèvent les joies
dansent les rondes scellées par la foi
le cercle est le tout et le tout infini
(solstice d'hivers et autres dates)
Samedi 7 août 2010 à 9:25
"Je ne crois pas je sais"
En plus de ses "visions" qu'il a dès son enfance, de ses expériences vécues au court de ses pratiques thérapeutiques et des phénomènes de synchronicité Jung vécu vers la fin de sa vie l'expérience de la mort imminente (ou NDE) où il sorti de son corps et vécu ce qu'il appel l'individuation; la rencontre du soi, sa nature éternelle. Ce fut la réalité de l'âme et de la psyché. "Ce qui se passe après la mort est si infiniment grandiose que nous ne pouvons pas le concevoir." "la vraie vie est au-delà de notre existence terrestre provisoire". Jung fut d'ailleurs très déçu que son corps reprenne vie; "sur terre, il se sentait comme dans une prison, chaque homme enfermé dans la caissette de son petit moi,soumis aux médiocres désirs.Il en voulait à son médecin de l'avoir arraché à la béatitude céleste qui lui était offerte."
Quelques passages du livre
"l'ancienne psyché vient d'une constellation d'engrammes,des archétypes jaillis de la nuit des temps et fixés dans les gènes de l'ADN" "la psyché est une entité autonome, et pas seulement une machine à produire de la conscience."
parlant de son père pasteur mais qu'il aurait pu dire de tant d'autres dits religieux "quand il prêchait ce qu'il disait sonnait fade et creux comme une histoire racontée par quelqu'un qui ne la connaît que par ouïe-dire"
"Le temple devint pour moi une source de tourment, car on y prêchait Dieu sans pudeur. ... On vous force à croie à ce Mystère ineffable, en vous menaçant de l'enfer. Or le Mystère ne relève que de la certitude intime." ... "les gens paraissent avaler sans réfléchir toutes les contradictions". ... "POur lui la religion n'est pas uniquement une adhésion à un système complexe et intangible de rites et de croyances dogmatiques, mais d'abord un acte personnel par lequel un homme établit sa propre relation à Dieu".
"Il respectait les végétaux, qu'il se refusait à arracher pour les faire sécher, car ils sont des êtres vivants qui n'ont de sens que s'ils fleureissent; une pensée de Dieu".
A propos de Nietzsche
"IL n'était pas athée. Son affirmation provocatrice: Dieu est mort ne concernait que le Dieu des religions du Livre, et notamment le protestantisme qui l'avait marqué, le Dieu juif de la crainte, le Dieu vengeur qu'il estimait inventé par les prêtres pour contraindre l'homme à une morale qui le coupait de la vie."
A propos de Freud:
"La névrose de Freud venait de son athéisme. ... La théorie sexuelle n'était qu'un prétexte pour assurer l'autorité personnelle de Freud, son désir de puissance qu'avait dénoncé Adler... Réduire la religion à un besoin sexuel, c'était soi-même se prendre pour le messie."
"... Ce qui vient de l'inconscient n'est pas uniquement personnel, mais peut surgir d'un ailleurs collectif inimaginable"
"Il existe dans l'âme des choses qui ne sont pas faites par le moi, mais qui se font d'elles mêmes et qui ont leur vie propre. C'était la confirmation de l'inconscient collectif, cette psyché autonome au coeur de notre psyché personnelle"
"Je dis qu'il faut être voyant, se faire voyant. Le poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement des sens. Toutes les formes d'amour,de souffrance, de folie. Il cherche lui-même"
"Ferme les yeux et tu verras"
"En général, l'individuation devient possible dans la deuxième moitié de sa vie, la première étant accaparée par le moi suractif"
"En tant que chemin de la sagesse et de la totalité, elle peut devenir un but de l'existence"
"Le moi reste présent et actif, il garde la responsabilité de l'action, sinon on part à la dérive"
"Le corps de diamant, nous l'avons dit, c'est le soi, image de Dieu en l'homme, Dieu étant la puissance créatrice de l'Univers."
"Le méditant s'il n'est pas attentif, peut manquer le Soi de deux manières : l'assoupissement ou la distraction. Tous ceux qui ont pratiqué la messe savent de quoi je parle".
"L'âme est une entité aussi réelle que le corps... corps et esprit ne sont pour moi que des aspects de la réalité psychique.L'expérience psychique est la seule expérience immédiate.... La pensée nous ouvre les voies de la divinité"
"Dans la société patriarcale de son époque, il (Jung) révolutionnait l'idée que l'on se faisait de la femme. Il prônait l'égalité par la complémentarité du masculin et du féminin... nOn seulement il avançait cette théorie mais il la mettait en pratique en incitant les femmes de sa vie à devenir analystes. ... Aujourd'hui encore les femmes psychiatres junguiennes ne se comptent plus."
"Jung demeurait formel sur ce point : La femme devait se libérer, égale à l'homme, bien que différente de nature."
"Il se ressourçait ... comme répandu dans le paysage et dans les choses; et il vivait lui-même dans chaque arbre, dans le clapotis des vagues, dans les nuages, dans les animaux et les objets"
"La perte de nos racines a créé un vide dans notre civilisation et pourtant l'évolution est inévitable, comme inscrite dans nos gènes. Nous sommes jetés dans une cataracte de progrès, elle nous pousse vers l'avenir, avec une violence d'autant plus sauvage qu'elle nous arrache à nos racines"
"Le mal des temps modernes est la perte de la foi, la course aux biens exclusivement matériels, l'hypertrophie du moi, le rationalisme scientifique oublieux de ses sources".
"La souffrance humaine demeurait pour le docteur Jung une préoccupation essentielle"
En Orient, on cherche à s'en débarrasser en y renonçant. En Occident, on utilise des drogues. Mais la souffrance doit être dominée et onne le peut qu'en la supportant.Cela, nous l'apprenons seul à travers lui.en disant cela, il me montra le crucifix."
"Jung ne pratiquait aucune religion"... En revanche il était fier de ce "mysticisme" dont Freud le gratifiait ironiquement."
"Dans les choses de Dieu, l'homme doit se taire et non émettre des affirmations arrogantes sur ce qui est plus grand que lui"
"Je suis le premier à avoir signaler l'importance éminente de la religion et à avoir établi un rapport entre psychothérapie et religion"
"Jung avait constaté très tôt que l'âme crée des images à contenu religieux, qu'elle est religieuse par nature"
"A la question pourquoi l'homme a t il toujours été religieux? IL répondait des facteurs numineux forment l'essence de l'intellect humain et de la vie émotionnelle. Toute sa vie confirmera ce constat, qu'il s'agisse de sa pratique thérapeutique, ou de ses expériences intérieures personnelles. c'est pourquoi la fonction religieuse est chez l'homme aussi naturelle et importante que la fonction sexuelle".
"L'homme qui n'est pas encré dans le divin n'est pas en état de résister à la puissance physique et morale qui émane du monde extérieur. Il a besoin de son expérience intérieur, de son vécu transcendant."
L'Européen s'est, par son évolution historique, tellement éloigné de ses racines, que finalement son esprit s'est divisé en croyance et connaissance. L'Européen a une science de la nature mais il sait peu de chose sur sa propre nature".
"Longtemps il demeura au contact d'Emma (sa défunte femme) dans le silence audible, un sentiment ineffable de proximité au delà de la mort .
"Soit on est pour ainsi dire entrainé dans la mort, soit, à l'inverse, ce poids nous charge d'un devoir que l'on doit remplir dans la vie. Une partie du défunt est comme passée dans la vôtre et vos oblige à accomplir quelque chose. On accomplit par là la mission reçue du mort".
Jeudi 22 juillet 2010 à 20:40
Enfin ce livre qui se veut réconciliateur de la science avec la foi aura le mérite de remettre en place les intégristes de tout bord; et que ces derniers ne vous éloignent pas "ne faites donc pas reposer votre évaluation de la foi sur ce que vous voyez du comportement de certains humains ou de la religion en tant qu'institution. Reposez vous plutôt sur les vérités spirituelles éternelles exposées par la foi".
"Reste que les actes malfaisants commis au nom de la religion ne contestent en aucune façon la vérité de la foi; ils portent en revanche gravement atteinte à la nature des êtres humains, ces conteneurs rouillés dans lesquels l'eau pure de cette vérité a été placée".
"La perspective de l'évolution théiste ne peut, bien entendu, prouver que Dieu soit réel, dans la mesure où aucun argument logique ne peut le faire entièrement. La croyance en Dieu nécessitera toujours un acte de foi. "l'évolution théiste
"Dans l'évangile selon Matthieu, le Christ est questionné à propos du plus grand des commandements de Dieu. Il répond simplement: "tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme et de tout ton esprit. C'est le premier et le plus grand des commandements. Et voici le second, qui, lui est semblable: tu aimeras ton prochain comme toi-même"
l'agape selon C.S. Lewis "l'amour qui n'attend rien en retour. Il s'agit d'un défit au matérialisme et naturalisme.Et il s'agit de la joie la plus douce que l'on puisse éprouver."
Dimanche 5 juillet 2009 à 14:31
Merci à Séverine pour cette vidéo
Jeudi 18 juin 2009 à 14:33
Le Restaurant la Boucherie de Papa organise le :
VENDREDI 26 JUIN 2009 A PARTIR DE 19H00
UNE SOIREE CELIBATAIRE SPECIALE "VOYANCE D'ETE".
Venez déguster une viande de qualité, et profitez de la présence de CASSIOPEE AVENIR, le spécialiste de l'astrologie et de la voyance en Essonne, qui vous offrira une SEANCE GRATUITE
Menu à 25 Euros
Réservation obligatoire au : 01.69.63.97.93
RESTAURANT LA BOUCHERIE DE PAPA
12 RUE DU TEMPLE
91620 NOZAY
Vendredi 29 mai 2009 à 13:51
Notre priorité est d’aider bénévolement et gratuitement les personnes en difficultés.
Reynald roussel, médium depuis l'âge de cinq ans, Reynald Roussel nous fait partager son expérience au cours de conférences qu'il donne à Paris et en province.
Il a également publié plusieurs ouvrages.Il aide les personnes dans le deuil et explique qu'il y a une vie après la mort, que les contacts sont possibles.
Extraits vidéos d'une de ses conférences
Sondage de l'association voix de l'autre monde
Lundi 23 mars 2009 à 16:45
Comme beaucoup je suppose, je préfère l'appel à la sagesse lancé dans la seconde vidéo où nous sommes incités à nous détacher du matérialisme pour mieux nous rapprocher des uns des autres.
Vendredi 12 décembre 2008 à 11:37
Depuis notre rencontre en 98, nous avons vécu notre amour et, sans confirmer cette prédiction, si tu n'avais pas de connaissance dans le spiritisme ou la voyance en générale, tu m'as tout de même apporté ton savoir spirituel.
Maintenant que tu n' ais plus de chair, je m'interroge sur cette prédiction, s'agissait-il bien de toi? A la réflexion, je pense que oui. Mais d'une façon douloureuse que je ne pouvais envisager jusqu' à il y a peu. Car depuis ton départ, ma nature psychique à redoubler de vitalité et mes interrogations sur l'au delà m'ont récemment conduites vers le livre des esprits d'A. Kardec tout d'abord (ce serait une retranscription des communications qu'il aurait eut avec des esprits) et dernièrement, le livre mystérieux de l'au-delà d'un ancien prêtre catholique Johannes Greber (ce serait également une retranscription de communication qu'il aurait eut avec des esprits entre 1929 et 1932).
Tous deux ont découvert et analysé la communication avec les esprits sur le tard; Kardec à partir de 50ans et Greber à partir de 47ans.
L'allemand Greber toutefois se distingue du français Kardec an ce que son livre, en plus de "servir de guide à ceux qui souhaitent entrer en communication avec le royaume de Dieu", corrige les écrits sacrés et dénonce l'ensemble des religions qui pour lui détournent la population de la vérité pour mieux lescontrôler et conforter ainsi leur position sociale. "C'est la même raison qui a poussé les anciens prêtres juifs à s'acharner contre le Christ et sa doctrine".
Prêtre de 25ans à 49ans, Greber nouvellement instruit a quitté l'église pour nous instruire nous-même afin de "nous détacher de la culpabilité imposée par les prêtres catholique, rabbins, musulmans et autres péages spirituels".
Ce dernier livre acquis rejoind bien notre façon d'envisager les religions : On peut croire, chercher la vérité en dehors de tout dogme religieux. La vérité ne peux se trouver qu'au dessus des hommes.
Si, comme le promet Greber, la lecture de son livre associé à une volonté profonde de trouver la Vérité "conduit vers le monde des bons esprits", alors il est une clef essentielle pour te retrouver toi aussi ma Rose.
Ainsi, la prédiction du voyant se réaliserait véritablement. Ce serait bien toi la fille qui devait m'aider dans ma quête spirituelle; par notre Amour immortel qui nous attire par delà les mondes.
Lundi 18 août 2008 à 18:02
Même si la faim me tenaillait, même si j'étais fatiguée de lire et de ruminer, je répugnais à réintégrer ma carcasse et à rentrer dans l'espace fermé, dans le temps sclérosé des adultes."
Vendredi 2 mai 2008 à 15:26
la religion, la guerre et les finances.
Qui croire, que croire? Ce qui est sûre c'est qu'il vaut mieux aimer l'autre que le craindre; écouter son coeur plutôt que les textes.
Samedi 22 mars 2008 à 14:02
la saison de l'espérance et du renouveau
C'est au Printemps, Un 22 mars, qu'il y eut l'occupation de l'université de Nanterre, pour la libération d'étudiants protestants contre la guerre du Vietnam, qui accoucha du mouvement sociétal de Mai 68, du moins pour la France car l'équivalent de mai 68 s'est déclenché également un peu partout dans le monde à la même période.
C'est au Printemps, entre le 22 et le 25 mars (selon la pleine lune) que des légendes religieuses font ressusciter Jésus christ.
Et bien parcequ' à y regarder, le rêve de Jésus et celui du mouvement dit "68" n'était-il pas de créer une société humaniste? Un monde où aucun être n'en écraserait ou ne profiterait d'un autre, où la justice serait parfaite, où le but de l'existance ne serait plus la production / consommation / enrichissement d'une minorité mais le bien vivre ensemble sur la planète entière...?
Pour Michel Benoit justement, Jésus n'est pas un fils de Dieu, ni un être de fiction. Jésus est un être subversif qui s'est opposé aux tenants du pouvoir et de l'ordre établi pour faire atteindre la sagesse aux êtres par une vie de justice et de paix entre les êtres sur Terre. Ses dis portes paroles détournent ses dires pour mieux manipuler les faibles.
Ancien moine, Michel Benoit, qui n'en fini pas de s'interroger sur la Chrétienté et la spiritualité en général, nous présente le résultat de ses dernières recherches concernant Jésus dans son nouveau livre "Jésus et ses héritiers: mensonges et vérités".
Une fois de plus, Michel Benoit place les manipulations religieuses face aux vérités, aussi dures soient elles à entendre, pour mieux nous éloigner des illusions bibliques et nous rapprocher de l'essentiel : la stricte pensée de Jésus.
Car dénoncer les mensonges du christianisme ne veux pas dire ne pas écouter les pensées de Jésus ni fuir sa spiritualité. Au contraire, pour mieux pouvoir se rapprocher de Jésus, il faut se libérer des dogmes dictés par les églises qui ont détourné ses pensées et inventer une religion à des fins de domination sur les êtres.
En attendant tout comme les juifs, allons nous attendre un nouveau "messie" pour changer le monde? A lire l'évolution de l'humanité, je crains même qu'un "nouveau Jésus" ne serait même pas entendu.
Dimanche 9 mars 2008 à 19:48
Ce documentaire s'illustre par le témoignage d'une personne âgée (79ans) qui, non dépressive, estime malgré tout que la vie ne la fait plus suffisamment palpiter et l'ennuie.
A travers son témoignage, on entend surtout la principale motivation de son choix qui est la peur de tomber gravement malade, de souffrir, de finir ses jours à l'hôpital et de ne plus pouvoir décider de rien.
Mais le documentaire semble aller plus loin. Car, plus que de parler de la mort volontaire des personnes atteintes de maladie incurable et grave, ce film met également le doigt sur la liberté de vivre et de mourir de l'individu et l'existence des associations comme Exit ou ce docteur Nitschke qui accompagne ces futurs suicidés (les suicides assistés) et les aide dans leur démarche en fabriquant des pilules, en distribuant des sacs et en inventant une machine à tuer par gaz.
Quelle visage prendrait nos sociétés si les "médicaments de mort" étaient en vente libre ou si les médecins devenaient habilités à aider des personnes en bonne santé à mourir?
Nos sociétés s'attacheraient-elles à mieux s'occuper des humains pour leur donner goût à la vie?
L'économie capitaliste accentuerait-elle son cynisme en développant un nouveau marché?
Les problèmes des retraites et du déficit de la sécurité sociale seraient il résolu? (tuer l'individu quand il ne rapporte plus)
Associations et Organismes d'aide
Samedi 5 janvier 2008 à 14:18
A noter que l'autre disciple préféré de Jésus est Marie Madeleine que l'on dit avoir été la première à le comprendre et à le suivre. Une femme trop peu mise en lumière que l'on préfère qualifier de pécheresse repentie plutôt que d'apôtre comme pour écarter les Femmes du pouvoir au sein de l'église et des Cités. Il faudrait rappeler à ces derniers que Jésus sur la croix, les hommes fuyaient comme des lâches alors que les femmes restèrent à ses pieds. C'est également cette femme, Marie Madeleine, qui vit la première le Christ réssussité.
Sans surprise, la même église accuse l' évangile de Judas d'hérésie, comme les commentaires du frère Jean Degert dans cette première traduction française.
Dimanche 30 décembre 2007 à 14:22
Parfois je me demande ce qu'adviendraient ces extrémistes intégristes, ces criminels de l'esprit et du corps, si la vie extra terrestre était enfin découverte. Verrait on enfin leur langue fourchue s'enfoncer bien profond dans leur gorge et leur égo reprendre une ampleur humble digne des sages?
La vie est courte et la Terre bien petite, pourquoi perdre son temps dans des discours sectaires qui éloignent l'homme de la paix, du partage et du respect de son prochain?
Pourquoi affirmer que sa religion est la plus pure alors qu'elle n'est qu'une spiritualité parmis tant d'autres sur Terre voir certainement, dans l'univers et que leur but initial est la paix de l' âme, le respect de son prochain et de son environnement ?
Malheureusement, nous ne pouvons que savoir qu'il n'y aura pas de paix tant qu'il y aura de la misère. L'injustice et la pauvreté pousseront indéfiniment les hommes à la violence suicidaire et les peuples seront toujours victimes des systèmes économiques du sans partage.