wattie
vivre ou survivre?
Mercredi 26 mars 2008 à 21:26
Mercredi 26 mars 2008 à 15:17
Lundi 24 mars 2008 à 22:09
Lundi 24 mars 2008 à 14:21
Samedi 22 mars 2008 à 18:30
Samedi 22 mars 2008 à 14:02
C'est le printemps,
la saison de l'espérance et du renouveau
la saison de l'espérance et du renouveau
C'est au Printemps, Un 22 mars, qu'il y eut l'occupation de l'université de Nanterre, pour la libération d'étudiants protestants contre la guerre du Vietnam, qui accoucha du mouvement sociétal de Mai 68, du moins pour la France car l'équivalent de mai 68 s'est déclenché également un peu partout dans le monde à la même période.
C'est au Printemps, entre le 22 et le 25 mars (selon la pleine lune) que des légendes religieuses font ressusciter Jésus christ.
Pourquoi associer un tel héros revendiqué par tant de religions avec un mouvement qui voulait se détacher de tout contrôle religieux?
Et bien parcequ' à y regarder, le rêve de Jésus et celui du mouvement dit "68" n'était-il pas de créer une société humaniste? Un monde où aucun être n'en écraserait ou ne profiterait d'un autre, où la justice serait parfaite, où le but de l'existance ne serait plus la production / consommation / enrichissement d'une minorité mais le bien vivre ensemble sur la planète entière...?
Pour Michel Benoit justement, Jésus n'est pas un fils de Dieu, ni un être de fiction. Jésus est un être subversif qui s'est opposé aux tenants du pouvoir et de l'ordre établi pour faire atteindre la sagesse aux êtres par une vie de justice et de paix entre les êtres sur Terre. Ses dis portes paroles détournent ses dires pour mieux manipuler les faibles.
Ancien moine, Michel Benoit, qui n'en fini pas de s'interroger sur la Chrétienté et la spiritualité en général, nous présente le résultat de ses dernières recherches concernant Jésus dans son nouveau livre "Jésus et ses héritiers: mensonges et vérités".
Une fois de plus, Michel Benoit place les manipulations religieuses face aux vérités, aussi dures soient elles à entendre, pour mieux nous éloigner des illusions bibliques et nous rapprocher de l'essentiel : la stricte pensée de Jésus.
Car dénoncer les mensonges du christianisme ne veux pas dire ne pas écouter les pensées de Jésus ni fuir sa spiritualité. Au contraire, pour mieux pouvoir se rapprocher de Jésus, il faut se libérer des dogmes dictés par les églises qui ont détourné ses pensées et inventer une religion à des fins de domination sur les êtres.
En attendant tout comme les juifs, allons nous attendre un nouveau "messie" pour changer le monde? A lire l'évolution de l'humanité, je crains même qu'un "nouveau Jésus" ne serait même pas entendu.
Jeudi 20 mars 2008 à 15:38
RAPPEL: La soirée à VLP du 22 mars est reportée au 13 juillet
Pour vous consoler voici une autre soirée pour samedi:
Pour vous consoler voici une autre soirée pour samedi:
Mercredi 19 mars 2008 à 23:44
Les nouveaux prix de la XBoX depuis le 14mars:
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- - Pack Premium : 269 euros
- - Pack Elite : 369 euros
Mercredi 19 mars 2008 à 15:29
1914-1918
"Cette guerre n'a servi à rien,
d'un côté comme de l'autre..."
(Lazare Ponticelli)
"Cette guerre n'a servi à rien,
d'un côté comme de l'autre..."
(Lazare Ponticelli)
Il y a 90 ans, l'armistice de la première guerre mondiale fut signée. Il y a quelques jours, notre dernier vétéran français de cette guerre ( il reste 3 britaniques, 2 Italiens, 1 américain, 1 Austro Hongrois et 1 Turc), Lazare Ponticelli (110ans), nous a quitté.
Il n'aura jamais oublié ses camarades morts dans l' anonymat. "l'horreur de cette guerre, je ne l'ai pas oubliée, ni pour moi ni pour ceux qui sont morts" (rien que du côté français, 900 soldats, en moyenne, mouraient chaque jour. 1,3 million de militaires mort au total dont 400 000 portés disparus.Plus de 2 millions de blessés).
Une horrible page de notre histoire commune (qui n'a pas perdu un être de sa famille durant ces massacres?) s'est tournée. Mais pour tous ces morts et pour notre futur, nous devons garder la mémoire vive.
Cette boucherie, Lazare Ponticelli l'aura vécue sous deux drapeaux: Celui de la France pour laquelle il s'était engagée dans le corps de la Légion Etrangère ("j'ai voulu défendre la France parcequ'elle m'avait donné à manger. C'était une manière de dire merci") et celui de l'Italie, son pays d'origine, qui rappela tous ses natifs en âge de combattre à partir de 1915.
C'est en uniforme italien que ce héros, comme les soldats français, décide avec les camarades de sa compagnie de fraterniser avec le dit ennemi ("...nous nous sommes mis d'accord pour cesser les combats").
Suite à cet acte, digne d'un être humain, le commandement italien passa sa compagnie en conseil de guerre. Après avoir risqué le peloton d'exécution, ils furent affectés face à une compagnie adverse plus sauvage (une compagnie d'élite Autrichienne). En France, le commandement, pour remettre les soldats français sur les rails du massacre, fusilla un grand nombre de pacifistes et de rebelles parfois même sans preuve de ce qu'il les accusaient (quant aux déserteurs il en allait de même et les dépressifs étaient assimilés à des lâches).
Nous sommes bien loin ici du sens du devoir dont parle notre président de la République, chef des armées, dans son discours racoleur et militariste prononcé aux invalides (où trône le tombeau de Napoléon Bonaparte) lors de l'hommage national dont notre humble héros ne voulait pas (la famille a d'ailleurs tenu à ce que cette cérémonie soit séparée des obsèques).
Pas un seul mot sur l'esprit pacifique des soldats conscients de l'irrespect des dirigeants envers eux et de la folie de la guerre. Au contraire les politiques attisent l'esprit nationaliste (en Europe de l'Est, de nouvelles nations se créent au risque d'encourager les séparatistes et voir l'Europe, déjà malade, se désunir à nouveau).
"Jeunes qui répondaient...à l'appel de la Patrie envahie" (J.Chirac)
"...pour défendre sa Patrie" (N.Sarkozy)
Les politiques parlent de Patrie comme les chefs religieux parlent de Dieu (pour ne pas dire nation politiquement incorrecte car trop proche du vocabulaire étiqueté "extrême droite"), pour abuser de nos sentiments affectifs.
Mais ce mot Patrie est vide de sens quand dans le même temps on dilapide l'Etat, on laisse l'économie capitaliste prendre le dessus sur le politique, que les peuples sont abandonnés à la loi du marché, que rien n'est fait pour que les richesses soient mieux équilibrées et que les femmes ne sont toujours pas les égales des hommes au niveau salarial?
Mais ce mot Patrie est vide de sens quand dans le même temps on dilapide l'Etat, on laisse l'économie capitaliste prendre le dessus sur le politique, que les peuples sont abandonnés à la loi du marché, que rien n'est fait pour que les richesses soient mieux équilibrées et que les femmes ne sont toujours pas les égales des hommes au niveau salarial?
Les politiques n'ont pas honte de parler d'honneur, du sens du devoir, de sacrifice, eux qui à l' arrière du sang, des gaz et de la poudre envoyaient leurs citoyens se faire massacrer comme de la chair à canon.
Combien d'officiers entêtés ont sacrifié des compagnies entière pour ne pas reconnaitre leurs erreurs stratégiques et militaire?
Et combien de temps les poilus survivants ont dû attendre les honneurs et la reconnaissance de la Nation?
Lazare Ponticelli a obtenu la légion d'honneur à ... 98ans! Quelle honte quand on voit le nombre d'artistes insignifiants qui la reçoivent.
Combien de films ont été réalisés pour décrire librement cette "grande guerre", la guerre d'Indochine ou d'Algérie (dont on ne voulait pas reconnaître qu'il s'agisse d'une guerre et non d'un maintien de l'ordre) sur nos écrans (on critique les USA mais eux au moins ont fait et continuent de faire l' autocritique sur leur guerre du Vietnam).
Les politiques savent nous parler d'honneur et du sens du devoir pour mieux nous manipuler. Pendant que nous mourrons sur les fronts, de gros lobbys industriels s'enrichissent (métallurgie, énergie, automobile, armement...).
Les politiques n'ont aucune reconnaissance ni parole; on se souvient, par exemple, des anciens combattants de nos colonies passées (qui le seraient peut être encore si les promesses de reconnaissance et d'émancipation prononcées pour motiver les troupes avaient été tenues) dont le montant de leur solde reste inférieur à celles des français de la métropole par exemple.
Et tenez vous bien, Lazare Ponticelli, pour avoir servi la Patrie, n'a été naturalisé français qu'en 1939! Sans doute pour le motiver à reprendre les armes sur les fronts de la seconde guerre mondiale.
Les guerres n'apportent que la mort aux peuples et la paix venue, la misère reste la même sinon pire.
Jeudi 13 mars 2008 à 17:42
Mardi 11 mars 2008 à 23:13
A l'heure où le "gouvernement" européen parle de réautoriser les OGM et les farines animales (souvenez vous de la crise des vaches folles) pour l'alimentation d'élevage, Arte, l'une des seules chaînes qui mériterait l'intitulé "utilité publique", diffuse aujourd'hui un documentaire (Le monde selon Monsanto) à réveiller toutes les victimes du discourt collaborationniste des politiques et des scientifiques corrompus par le lobby industriel de la biotechnologie.
Ce documentaire démontre combien les puissances financières noyautent le monde politique et scientifique au plus haut niveau et propager le mensonge au service de l'argent au dépend de la santé publique et environnementale.
L'affaire des OGM démontre la menace faite sur l'indépendance des scientifiques.
L'OGM peut tuer oui mais chut! il assure des bénéfices de rêve pour les détenteurs des brevets de ces semences et assure des revenus pour ses collabos.
Et à ceux qui auraient encore la naïveté de croire que les OGM seraient un salut pour les pays en voie de développement qu'ils se penche sur la multiplication du taux de suicide chez les agriculteurs en Inde.
Combien de rapports prouvant la dangerosité des OGM ont été trafiqués ou étouffés? Combien d'employers de ces firmes des biotechnologies ont été liscenciés ou menacés pour avoir ou tenté d'avoir divulgué la vérité?
En attendant Monsanto rachète à tour de bras les semenciers de graines naturelles afin d'impôser leur graînes génétiquement modifiées...
Dans l' économie capitaliste, le gros achète le petit jusqu'à ce qu'il n'y ait plus qu'un gros.
Bien sûr ce gros se camouflera sous différentes marques afin de dissimuler la grande farce du libre choix.
Ce documentaire démontre combien les puissances financières noyautent le monde politique et scientifique au plus haut niveau et propager le mensonge au service de l'argent au dépend de la santé publique et environnementale.
L'affaire des OGM démontre la menace faite sur l'indépendance des scientifiques.
L'OGM peut tuer oui mais chut! il assure des bénéfices de rêve pour les détenteurs des brevets de ces semences et assure des revenus pour ses collabos.
Et à ceux qui auraient encore la naïveté de croire que les OGM seraient un salut pour les pays en voie de développement qu'ils se penche sur la multiplication du taux de suicide chez les agriculteurs en Inde.
Combien de rapports prouvant la dangerosité des OGM ont été trafiqués ou étouffés? Combien d'employers de ces firmes des biotechnologies ont été liscenciés ou menacés pour avoir ou tenté d'avoir divulgué la vérité?
En attendant Monsanto rachète à tour de bras les semenciers de graines naturelles afin d'impôser leur graînes génétiquement modifiées...
Qui a parlé de libre concurrence?
Dans l' économie capitaliste, le gros achète le petit jusqu'à ce qu'il n'y ait plus qu'un gros.
Bien sûr ce gros se camouflera sous différentes marques afin de dissimuler la grande farce du libre choix.
Dimanche 9 mars 2008 à 19:48
Cette aprèm. j'ai pris en cours un documentaire sur La Chaîne Parlementaire (TNT) traitant du choix, fait par des personnes saines de corps et d'esprit, de mourir prématurément.
Ce documentaire s'illustre par le témoignage d'une personne âgée (79ans) qui, non dépressive, estime malgré tout que la vie ne la fait plus suffisamment palpiter et l'ennuie.
A travers son témoignage, on entend surtout la principale motivation de son choix qui est la peur de tomber gravement malade, de souffrir, de finir ses jours à l'hôpital et de ne plus pouvoir décider de rien.
Mais le documentaire semble aller plus loin. Car, plus que de parler de la mort volontaire des personnes atteintes de maladie incurable et grave, ce film met également le doigt sur la liberté de vivre et de mourir de l'individu et l'existence des associations comme Exit ou ce docteur Nitschke qui accompagne ces futurs suicidés (les suicides assistés) et les aide dans leur démarche en fabriquant des pilules, en distribuant des sacs et en inventant une machine à tuer par gaz.
Quelle visage prendrait nos sociétés si les "médicaments de mort" étaient en vente libre ou si les médecins devenaient habilités à aider des personnes en bonne santé à mourir?
Nos sociétés s'attacheraient-elles à mieux s'occuper des humains pour leur donner goût à la vie?
L'économie capitaliste accentuerait-elle son cynisme en développant un nouveau marché?
Les problèmes des retraites et du déficit de la sécurité sociale seraient il résolu? (tuer l'individu quand il ne rapporte plus)
Ce documentaire s'illustre par le témoignage d'une personne âgée (79ans) qui, non dépressive, estime malgré tout que la vie ne la fait plus suffisamment palpiter et l'ennuie.
A travers son témoignage, on entend surtout la principale motivation de son choix qui est la peur de tomber gravement malade, de souffrir, de finir ses jours à l'hôpital et de ne plus pouvoir décider de rien.
On reconnaitra ici la participation au débat sur l'euthanasie
Mais le documentaire semble aller plus loin. Car, plus que de parler de la mort volontaire des personnes atteintes de maladie incurable et grave, ce film met également le doigt sur la liberté de vivre et de mourir de l'individu et l'existence des associations comme Exit ou ce docteur Nitschke qui accompagne ces futurs suicidés (les suicides assistés) et les aide dans leur démarche en fabriquant des pilules, en distribuant des sacs et en inventant une machine à tuer par gaz.
Quelle visage prendrait nos sociétés si les "médicaments de mort" étaient en vente libre ou si les médecins devenaient habilités à aider des personnes en bonne santé à mourir?
Serait-ce l'hécatombe?
Nos sociétés s'attacheraient-elles à mieux s'occuper des humains pour leur donner goût à la vie?
L'économie capitaliste accentuerait-elle son cynisme en développant un nouveau marché?
Les problèmes des retraites et du déficit de la sécurité sociale seraient il résolu? (tuer l'individu quand il ne rapporte plus)
Et Dieu dans tout ça?
Associations et Organismes d'aide
Associations et Organismes d'aide
Samedi 8 mars 2008 à 16:52
10 ans déjà que Celtic Circle se bouge pour la scène goth
Pour fêter l'évènement l'asso nous promet 3 actes dont le premier sera cette ultime soirée au château de Vaux Le Pénil
Une question se pose tout de même : Celtic Circle va-t-il poursuivre ses soirées en dehors de Paris, y aura-t-il un autre château que celui de VLP?
Soirée à VLP reportée au 13 juillet
Tamtrum
Arsch Dolls
Mesmer S Eyes
Mercredi 5 mars 2008 à 19:23
Comme chaque année dans le 91 le festival Elfondurock replante la scène pour le plaisir des yeux et des oreilles. Encore des talents à mieux faire connaître en perspective sur 2 dates:
le 7 mars aux Ulis (Radazik)
le 15 mars à Marcoussis (salle Jean Montaru)
le 15 mars à Marcoussis (salle Jean Montaru)
Dimanche 2 mars 2008 à 13:15
L'heure n'est plus au partage, en supposant qu'il est existé. Que celles et ceux qui le peuvent s'enrichissent et raflent les mises.
La vie est un Far West où l'on assagi les masses à dose de religions. Comment peut on se laisser dicter des sermons par des prêcheurs qui s'opposent plus aux développement de nos libertés individuelles et à l'appropriation de notre corps qu' aux systèmes qui nous exploitent et engendre les misères.
Où va notre monde quand notre Président de la République, le représentant du pays des droits de l'homme, des esprits des lumières et sa police régaliène endosse le costume des caïds et use du verbe comme d'une pair de gant de boxe?
Un chef d'Etat ne devrait il pas conduire son peuple à l'unissons et encourager la réflexion plutôt que de le vautrer dans les caniveaux en encourageant ses instincts de prédateur?
Malheur à celui qui croit pouvoir régner mieux en soutenant les divisions qu'engendre le communautarisme. Une nation ne peut être une mosaïque de tribues. Le chef d'Etat se doit d'imposer les liens identitaires et culturels vécus au quotidien par la majorité de son peuple à l'ensemble des habitants de son pays et suivre son évolution pour ne pas se momifier. Sans cela il s'exposera aux revendications voir au séparatisme des minorités.
L'entité d'un pays est son peuple. Ce peuple ne peut être réel que s'il est uni et solidaire. S'il se fracture d'individus étrangés et concurents les uns des autres, il n'y a plus de nation ni de pays réel. Ainsi, la stabilité de l'Etat se voit menacée et sans l'Etat, la nation ne serait plus qu' un espace géographique ou se livreraient des batailles commerciales débridées.
L'idéal serait de réussir à éduquer l'homme à faire toujours de son mieux et ainsi pouvoir tendre vers un système égalitaire. Mais notre espèce en est elle seulement capable?