wattie

vivre ou survivre?

Samedi 21 juin 2008 à 23:25


Découvrez Tagada Jones!

T
élébocal, cette télé associative surréaliste est diffusée depuis quelques temps sur la TNT le soir vers 23h sur la chaîne canal 21.

Une vague de fraîcheur sur les ondes.

Vendredi 20 juin 2008 à 17:09


La guerre contre le cancer, l'enlisement

Il y a quelques jours, une émission dénonçait l'économie qui nous tue et nos politiques complices.

Imaginez que les scientifiques américains savaient dès les années 40 que l' amiante était mortelle mais que le lobby patronal a étouffé l'information et les politiques ont abdiqué, qu'un an encore avant que le gouvernement français dans les années 80 décident d'interdire cet isolant cancérigène le rapport d'un organisme officielle minimisait sa nocivité. Aujourd'hui, rien qu'en France on attend encore 50 000 à 100 000 morts victimes de l'amiante d'ici quelques années seulement.
Il y a quelques semaines un "incident" de sécurité eut lieu dans un réacteur d'une centrale nucléaire d'un pays de l'Est. Le rapport officiel de sécurité  nous a assuré qu'il n'y a pas eut de fuite irradiante.
 Peut-on les croire après les mensonges de Tchernobyle?
 Le pire est à craindre en ce domaine quand on voit tous ces contrats de construction de nouvelles centrales nucléaires se multiplier partout dans le monde, même dans des pays où la population vit dans la misère (auront-ils les moyens d'assurer l'entretien et la sécurité de ces centrales?).

Concernant le cancer, les taux de mortalité sont toujours en hausse, même chez les jeunes où le taux  des malades du cancer atteint 30% en France.

Des scientifiques ont découvert que la principale cause des cancers est la pollution environnementale (5% des cancers sont génétiques), notamment  les œstrogènes (hormones féminines) que l'on trouve dans les plastiques, les pesticides et les herbicides.
Ces hormones perturbent nos cellules et provoquent le cancer. Le problème est que cette contamination ne se ressent pas et que le cancer ne se développe que 30 à 40ans plus tard.

Et le lobby patronal tente toujours d'empêcher la reconnaissance du lien entre pollution et cancer.

En attendant on investi principalement dans la recherche pour le traitement des cancers mais rien n'est fait dans le domaine de la prévention ou très peu pour empêcher la contamination; en France, l'épidémiologie est totalement délaissée et n'a pas les moyens matériel et fiancier d'avancer.

Toujours en France où le film "bien venu chez les ch'tis" a fait couler plein de bons sentiments envers la population du Nord, le du Nord pas de Calais est la région de France où l'on meurt le plus du cancer. Pourtant aucune étude officielle n'ai faite pour en connaître les raisons. Pire quand une étude indépendante sort un rapport, celui-ci est censuré et le chantage à l'emploi continu ses crimes.

C'est tout le cinysme de l'économie mondiale actuelle où l'argent est roi qui est en cause.

 Car le chiffre d'affaire du traitement contre le cancer ne cesse de croître et qui oserait s'attaquer à cette mine d'or?
 Aussi on est tenter de croire que plutôt que d'éradiquer le cancer, les labos préfèrent le stabiliser, le traiter comme une maladie chronique. Ainsi le cancer assure aux labos une véritable rente.

Mais les politiques, qu'ont-ils à y gagner, eux qui ne cessent de dénoncer les déficites de la sécurité sociale?

 De l'emploi! des victoires électorales!
voir, des dessous de tables

 Car pour éradiquer le cancer il faut s'attaquer au lobby patronal qui continu de nous polluer, donc risquer de voir fuir ses salauds vers des pays qui accèpetent de voir crever sa population par la pollution, elle qui crève déjà de faim. Et le chômage, les électeurs, ces boeufs qui préfèrent trimer que de remettre le système en cause n'aiment pas ça.

Mardi 17 juin 2008 à 14:11


Découvrez Merzhin!







Jeudi 12 juin 2008 à 14:53

La cible visée
Le grand public paye déjà beaucoup pour financer les artistes et le spectacle vivant. Notamment par l'intermédiaire de la redevance pour copie privée : 156 millions d'euros ont ainsi été récoltés en 2006. Et si le secteur des ventes de musique enregistrée chute en effet chaque année, les chiffres de l'Ifpi (principal syndicat mondial de producteurs) publiés en juillet 2007 ont montré qu'en 2006, tous les autres secteurs de la musique étaient en hausse : instruments, publicités radios, baladeurs, publications, et surtout concerts se portaient bien. En attendant le prochain rapport de l'Ifpi, on peut d'ores et déjà affirmer que le public répond donc présent, et n'a jamais autant écouté et payé de musique qu'en ce moment. Les téléchargeurs sont donc, aussi, le public – celui qui achète aussi des disques et va aux concerts. La musique n'est pas désaffectée, bien au contraire. Punir les téléchargeurs, c'est punir le public. La sanction est en outre aveugle : un abonnement Internet est rarement utilisé par une seule personne. Comment savoir, au sein d'un foyer, qui a effectivement téléchargé ou non ? Et dans le cadre d'une petite entreprise ? La faute d'un salarié peut-elle mettre en péril une activité économique souvent fragile ? Le mécanisme institué par la loi Hadopi fleure bon la sanction collective.


Texte de SVM

Jeudi 12 juin 2008 à 13:47

La hausse du pétrole creuse les budgets de nous tous. Cependant, seuls certaines professions qui osent gueuler comme les pêcheurs, les routiers et les agriculteurs réclament l'aide financière de l'Etat, notre aide donc.

Bien sûre, ces derniers peuvent argumenter que s'il n'obtiennent pas d'aide pour compenser la hausse du prix des carburants, ils pourront augmenter leur prix et provoquer une accentuation de l'inflation.

Nous voici donc, simple salariés/consommateurs pris en otage de l'irresponsabilité des politiques et de ces lobbyes qui ne pensent qu'à leur enrichissement personnel.

Si l'Etat cède à leur réclamation:

En plus de subir la pollution et l'encombrement des camions sur les routes dont les marchandises seraient mieux sur les rails, nous allons les aider financièrement à poursuivre leur égémonie et leur pollution (on est bien loin du projet des politiques de vouloir faire pressions sur le lobby routier notemment en taxant d'avantage le gazoil pour lutter contre la pollution).

Quant aux pêcheurs, comme les agriculteurs, parcequ'ils cèdent aux banques et à leur individualisme ils se sont tous endettés pour s'acheter des bateaux, tracteurs, moissonneuses avec des moteurs toujours plus puissants, plus gourmands en carburant. Si l'Etat leur cède nous allons donc les soutenir dans cette course sans fin et contribuer à l'appauvrissement des sols, la disparition des faunes maritimes et la pollution de leurs engins.

Cette politique du produire toujours plus est nocive pour l'humanité et notre planète, elle est suicidaire également pour les professions qui la pratique car en produisant plus, ils devront être moins nombreux. Quand il n'y aura plus de poissons, que les terres seront mortes, ils pourront toujours pleurer le ciel ou demander des allocations.

Tout comme la natalité, l'agriculture, la pêche et l'énergie doivent être gérées à l'échelle mondiale de façon viable économiquement et écologiquement.

Imaginez qu'avec seulement 20% de la surface du Sahara couvert de panneaux solaires, l'humanité entière serait fournie en énergie!

Dans le sud de l'Espagne, le Sahara a déjà frappé et pourtant les agriculteurs y gaspillent toujours de l'eau en y cultivant artificiellement sous serres...

Voici la nocivité d'un pouvoir politique faible face aux lobbyes, de politiques qui s'intéressent plus à leur réélection qu'au bien être de ses citoyens d'aujourd'hui et de demain, d'un pouvoir politique qui n'écoute que ceux qui ont la plus grande capacité de nuisance. Ce n'est pas ainsi qu'il pourra agir en grand sur notre société et  notre environnement.

Quand, les politiques décideront-ils de reprendre le contrôle de l'économie?

 Il serait temps que les Nations cessent de se regarder le nombril, qu'elles s'unissent et pensent planète. Il n'y a qu'à cette condition que l'humain pourra non seulement se sauver de son autodestruction mais également s'émanciper et vivre mieux.

Vendredi 6 juin 2008 à 20:22

L' étincelle du petit lapin s' évanoui au fond de la forêt engloutie par les mâchoires d'acier.

L' âme en peine, mes rêves s'écrasent au plafond du jour.
Les foules s' agitent comme les insectes autour des abats-jour.  Quelques poses de bavardages  pour oublier comme on est seul parmi les gens.

 Compressés sur les rails, embouteillés sur le bitume, en attente derrière les caisses, agglutinés dans les cages à lapins, le regard fuyant celui de l'autre, ne parlant que pour s' affirmer.

Sociétés d'anonymes, d'autistes arrogants,
 ils ont oubliés qu'ils étaient morts déjà.

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