leur vie si lisse qu'il faut marquer les corps de cicatrices
un effort encore pour le record artcorp
leur vie si classe qu'i faut gommer ce qui déborde et ce qui ride
l'âge d'or du matez moi, du clash éditorium, du flash auditorium
il faut qu'on m'aime même si ce moi qu'on aime est faussement moi
on ment à se dire je t'aime comme on pleur sur des morts qui s'évaporent l'instant suivant
c'est la loi du flash, du zap emboulémique
je veux tout et son contraire, c'est le monde schizophrénique
je nique comme je pique mon corps en ruine académique
je pompe les codes, j'encode ma life, j'encaisse les likes
je prends c'qui s'vend
j'entends l'appel du fond d'et moi!
mais j'ai trop peur de l'isolement
la vie est grise même en couleur mais c'est pour ça qu'on vend du vent