A quoi bon tout ça? ben le jour où je ne pourrais plus l'écouter c'est que la dernière fibre qui m'aide à tenir ici aura cédée
(au delà de ma Rose bien sûre que j'espère voir sortir de l'Ombre...)
Putain d'vie!
Lundi 30 juillet 2007 à 22:44
Mardi 24 juillet 2007 à 13:56
2 mesures de gin
1 mesure de Cherry Herring Brandy
1/2 mesure d'eau de vie de cerise
1/3 mesure de Cointreau
1 mesure de jus de citron
8 mesures de jus d'ananas
1/2 mesure de grenadine
Soda
Brins de menthe
Tranches d'orange
Glaçons
Samedi 21 juillet 2007 à 23:05
Samedi 21 juillet 2007 à 15:35
Lundi 16 juillet 2007 à 8:17
J'ai reçu il y a peu la grille salariale de la société où je travaille.
Comme chaque année, l'ensemble des salariés bénéficient d' une augmentation salariale. Cette fois-ci, il y a deux augmentations : 3% en avril et 1% ce mois de juillet.
Et en repensant aux analyses qui dénnoncent l'écart grandissant entre les riches et les pauvres, une réponse aux raisons de cette inégalité sociale me saute aux yeux.
Le taux d'augmentation étant le même pour chaque salaire, plus le salaire est important, plus la part d'augmentation va s'accélérer et les différences salariales croître au fil des années.
Bon, dit comme ça, ce n'est pas très clair. Alors voici un exemple: Avant avril 2007 les coef. 150 avaient un salaire brut de 1375.26 euros et les coef. 160 1454.33 euros. La différence de salaire entre ces deux coef. étaient donc de 79 euros 07.
En avril, avec l'augmentation de 3% cette différence passe à 81 euros 44 soit, un écart approfondie de 2 euros 37. Vous l'avez compris, chaque augmentation annuelle augmentera cet écart.
Pourtant les statuts et charges de travail de chacun ne changent pas en proportion. Il y a donc un manque d'équilibre dans ce système d'augmentation des salaires et il ne faut donc pas s'étonner de voir les inégalités salariales se creuser d'avantage chaque année.
Pour ne pas aggraver ces inégalités salariales, il faudrait que les taux d'augmentation ne soient pas les mêmes pour tous les salaires. Mais bien sûre cela demande un travail supplémentaire de calcul. Mais c'est la condition ultime pour ne pas voir des employés avec des salaires de plus en plus en dessous du coût de la vie et produire des pauvres de plus en plus pauvres et des riches de plus en plus riches.
Samedi 14 juillet 2007 à 7:58
Il y a des jours où l'on perd vraiment tout espoir de voir nos civilisations s'améliorer.
J'ai appris, lors d'un documentaire sur l'état de notre planète et l'influence de la consommation de diverses énergies sur celle-ci (à noter que la programmation choisi toujours des horaires de grande écoute pour diffuser des documentaires instructifs comme celui ci diffusé vers 2h du matin...), qu'il y a 50ans, en Chine, Mao Tsé Toung (dont je n'oublie pas les crimes qu'il a conduits) avait imposé à tous les paysans d'installer une cuve pour réceptionner leurs excréments humains et animaliers pour les transformer, via leur fermentation, en gaz naturel capable de les chauffer, de les éclairer et de cuire leurs nourritures gratuitement. Ainsi, ce choix politique eut trois mérites: fournir de l'énergie quasi gratuite (il doit y avoir des frais d'entretien je pense), préserver la pureté de l'eau et par conséquent, moins dépenser dans son traitement pour la rendre potable (ce qui est loin d'être le cas par exemple en Bretagne où l'élevage intensif pollue les nappes phréatiques et les rivières par l'écoulement des excréments animaliers).
Aujourd'hui, non seulement cette source d'énergie est maintenue mais elle s'amplifie grâce aux recherches menées qui permettent désormais de fournir en énergie des villes entières.
Ce procédé serait bien utile pour des pays comme Haïti ou un gouvernement corrompu laisse calciner sa forêt (la moitié de l'île), jadis aussi généreuse que l'autre moitié de l'île (dirigée par un autre gouverneur), pour faire du charbon, unique source d'énergie pour sa population.
En Europe, cette technique basique semble intéresser mais un choix révélateur se profile: sera utilisée uniquement le fermentation issue de végétaux!
Autant dire que ce choix condamne d'emblée cette ressource énergétique à la marginalisation car la quantité de végétaux utilisable sera plus que limitée.
Ce choix dans nos pays capitalistes où tout doit être source de profit financier ne m'étonne guère. Il suit cette même logique des lobbies pétroliers qui empêchent, par exemple les véhicules d' être bridés ou à consommer autre chose que du carburant issue du pétrole (des agriculteurs sont ainsi devenus hors la loi en utilisant et en vendant à leur voisinage du carburant issue d'huile de colza). Sans compter tous les chercheurs particuliers dont les trouvailles sont étouffées et non exploitées (eau, huile de friture...). Il y a bien les véhicules électriques ou GPL mais ils sont très marginalisés et les batteries posent le problème des déchets et du nucléaire.
Tant que les politiques seront influencés par le capital et n'auront pas le courage d'agir audelà des intérets électoraux, le progrès, dans le sens "respect de l'humain et de son environnement", risque peu de s'élever. Et avec l'entrée dans l'Europe de pays corrompus par les USA comme la Pologne ou d'autres parlementaires européens pour empêcher l' Europe d'être politique et fédérale (conditions indispensables pour exister concrètement et se faire entendre) , l'avenir ne s'annonce pas joyeux.
Dimanche 8 juillet 2007 à 13:42