On justifie les inégalités salariales par les diplômes, le travail fourni ou encore les responsabilités voir, comme pour ceux des stars ou de certains sportifs de haut niveau, par la masse vertigineuse d'argent qui s'amasse autour de leur domaine. A ce dernier cas, je répondrai que tout est question de choix politique car n'est il pas possible de plafonner les salaires ou de faire en sorte que cela se fasse de facto par les impôts? D'où mon opposition absolue au choix dernier de n'imposer les grandes fortunes qu'à la limite de 50% de leurs revenus.
Aujourd'hui je viens de lire un chiffre ou plutôt deux: les salaires nets moyens d'un patron de PME et de celui d'un cadre financier; le premier est de 5100 euros alors que le second s'envole à 20 400 euros! Tout un symbole...
Comment accepter une telle distorsion de salaire? Nul politique excepté à l'extrême gauche ne parle de plafonnement des salaires, les autres au nom de la mondialisation se couchent. Pourtant peut on ici parlé de réciprocité travail/salaire pour justifier une telle inégalité? le patron travaillerait il moins que le cadre en finance? J'en doute. diplôme? Le patron étant son propre employeur ça ne compte pas et de toute façon le diplôme n'a que valeur de moyen de sélection arbitraire car le diplôme ne fait pas le travailleur et les connaissances peuvent s'acquérir sans souffrir de validation d'un diplôme. Reste la masse d'argent amassée par le domaine professionnel; là fatalement on ne peu que reconnaitre que la finance est un des domaine privilégié, l'argent attire l'argent...
Cette inégalité représente à mes yeux le reflet du monde où l'on vit où l'argent produit plus d'argent que le travail productif, l'économie réelle face à l'économie virtuelle. au contraire de l'égalité des chances c'est toujours le possédant de l'argent qui fait travailler les autres et s' enrichie à coup d'intérêts et autres agios quand il ne sabote pas le monde réel à coup de spéculations; on est bien loin de la revalorisation du travail que nous scandait la droite. Et la crise n'a rien changer à ce système de malfrat.
Tant que rien ne sera décidé pour limité les inégalité salariales par la redistribution rien ne changera et tout ne sera que discours stérile juste bon à distraire la cour populaire qui gobe toujours leur messe (si elle ne gobait pas les résultats des élections cesseraient de se répéter)
Aujourd'hui je viens de lire un chiffre ou plutôt deux: les salaires nets moyens d'un patron de PME et de celui d'un cadre financier; le premier est de 5100 euros alors que le second s'envole à 20 400 euros! Tout un symbole...
Comment accepter une telle distorsion de salaire? Nul politique excepté à l'extrême gauche ne parle de plafonnement des salaires, les autres au nom de la mondialisation se couchent. Pourtant peut on ici parlé de réciprocité travail/salaire pour justifier une telle inégalité? le patron travaillerait il moins que le cadre en finance? J'en doute. diplôme? Le patron étant son propre employeur ça ne compte pas et de toute façon le diplôme n'a que valeur de moyen de sélection arbitraire car le diplôme ne fait pas le travailleur et les connaissances peuvent s'acquérir sans souffrir de validation d'un diplôme. Reste la masse d'argent amassée par le domaine professionnel; là fatalement on ne peu que reconnaitre que la finance est un des domaine privilégié, l'argent attire l'argent...
Cette inégalité représente à mes yeux le reflet du monde où l'on vit où l'argent produit plus d'argent que le travail productif, l'économie réelle face à l'économie virtuelle. au contraire de l'égalité des chances c'est toujours le possédant de l'argent qui fait travailler les autres et s' enrichie à coup d'intérêts et autres agios quand il ne sabote pas le monde réel à coup de spéculations; on est bien loin de la revalorisation du travail que nous scandait la droite. Et la crise n'a rien changer à ce système de malfrat.
Tant que rien ne sera décidé pour limité les inégalité salariales par la redistribution rien ne changera et tout ne sera que discours stérile juste bon à distraire la cour populaire qui gobe toujours leur messe (si elle ne gobait pas les résultats des élections cesseraient de se répéter)
Et pendant ce temps le SMIC est toujours gelé
+22 euros brut cette année
soit un salaire de 1365 euros brut
+22 euros brut cette année
soit un salaire de 1365 euros brut