Et vous, si vous êtes également contre le fait de devoir travailler jusqu'à 62ans, 67ans pour avoir droit au taux plein pour la retraite (sachant que de toute façon les 41 ans de cotisation sont déjà admis) jusqu'où seriez vous prêt à aller?
wattie
vivre ou survivre?
Jeudi 14 octobre 2010 à 20:20
Et vous, si vous êtes également contre le fait de devoir travailler jusqu'à 62ans, 67ans pour avoir droit au taux plein pour la retraite (sachant que de toute façon les 41 ans de cotisation sont déjà admis) jusqu'où seriez vous prêt à aller?
Samedi 29 mai 2010 à 10:21
Une tite reprise du groupe punk français des 80's wunderbach
Les chambres de commerce européennes et américaines contre le progrès social
Ces deux chambres de commerce se sont opposées à ce que le gouvernement chinois applique la loi sur le travail votée par l'assemblée populaire en 2007 qui prévoit de réduire le nombre de salarié sans contrat, de faire payer les heures supplémentaires et d'obtenir des hausses de salaires dans les grandes entreprises.
Leurs arguments? Cette loi si appliquée "risquerait de faire perdre aux marchandises fabriquées en Chine leur avantage comparatif". Selon les grands patrons européens et américains, cette loi réduirait la flexibilité et augmenterait le coût du travail.... ce qu'ils ne veulent assurément pas puisqu'ils voudraient au contraire que ce soit nous qui ayons nos salaires réduits et que nos contrats de travail soit plus flexibles (moins protégés).
Les salaires chinois ainsi gelés empêchent tout espoir de progression sociale de tous les pays du monde, notamment et surtout dans les pays en voie de développement et ainsi continueront à créer une concurrence destructrice des politiques sociale dans les pays comme la France.
En février 2010 la direction générale du trésor et de la politique économique relevait que la Chine était responsable de la destruction de 2 emplois industriels sur 5 en France.
Par ailleurs, la Chine poursuit sa colonisation des pays d'Afrique et d'Amérique latine en pillant leurs matières premières qui leur font défaut (croissance gargantuesque oblige) et en les inondant de leurs produits finis (ce qui les empêche du même coup tout développement industriel local; ce qui nous a été reproché à l'époque de notre colonialisme jadis).
Et pendant ce temps toujours pas de démocratie ni de mieux vivre pour les chinois puisque toujours pas de partage des richesses (qui a parlé de communisme?) Seuls les grands patrons comme toujours profitent de cette situation où l'homme est encore et toujours exploité.
Lundi 4 janvier 2010 à 11:25
Mercredi 14 octobre 2009 à 21:20
Samedi 19 septembre 2009 à 10:18
La crise est sans surprise et ne fait qu'accélérer l'appauvrissement de la population mondiale au profit de minorités que le système capitaliste, toujours plus gourmand et égoïste, favorise.
Cependant tout n'est peut être pas perdu. Les Etats sembleraient enfin se réveiller et craindre que la misère grandissante des gens mette en péril leur ordre établi. Ainsi, pour la première fois, l'Organisation Internationale du Travail participera au prochain G20.
Son directeur M.Juan Somaria, dans une interview du Figaro du 17/09/09, déclare que la crise "couvait depuis longtemps. cela fait 30ans que la politique économique dominante va à l'encontre des valeurs fondamentales de l'OIT, essentiellement le respect pour la dignité du travail."
"La mondialisation, en dépit d'une croissance rapide, créait peu d'emplois. Le modèle dominant a mis l'accent sur le besoin de flexibilité. On voulait un monde où on embauche et on licencie avec facilité ... La sécurité au travail s'est retrouvée plombée".
Aujourd'hui, "la montée de l'insécurité touche de plus en plus de travailleurs qui éprouvent un sentiment d'injustice à l'égard d'évènements dans lesquels ils n'ont aucune responsabilité."
"C'est le secteur financier qui nous a plongé dans un tel pétrin".
"Je crois qu'une majorité de chefs d'Etats et de gouvernements comprennent que l'emploi et la protection sociale sont au coeur de la reprise et de la stabilisation du système social".
"La lutte contre le chômage est d'autant plus une priorité qu'il risque de freiner la reprise économique".
Dans son rapport l'OCDE affirme en effet le risque que cette crise fasse baisser le niveau de vie et l'appauvrissement de la population, la dégradation de la santé, l'augmentation de la délinquance et une diminution du potentiel de croissance.
"Cette reprise de l'emploi doit être une préoccupation mondiale qui nécessite des mesures vigoureuses".
"Il s'agit, d'une part, de réduire les licenciements et , d'autre part, de renforcer les dispositifs de protection sociale afin d'assurer un revenu aux chômeurs".
Et, concernant le chômage, le rapport annuel de l'OCDE annonce que le pire est devant nous. Dans toutes les crises la reprise de l'emploi suit de plus loin celle de la production. Plus de 10 millions d'emplois sont encore menacés et le chômage pourrait atteindre 10% en 2010 pour les 30 pays de l'OCDE (11.2% pour la France. 9.7% en juin de cette année 2009). Déjà entre décembre 2007 et juillet 2009 15.1 millions de personnes se sont ajoutées aux autres chômeurs; c'est presque autant qu'en 10 ans entre les 2 chocs pétroliers.
Dimanche 5 octobre 2008 à 12:42
Découvrez Philippe Léotard!
Concert/soirée sauvage
Manif, collage, tractage
Circulation au ralenti
...
Tous ensemble en même temps!
Jeudi 29 mai 2008 à 14:03
Certains accusent la peur des représailles patronales mais cela ne suffit pas pour expliquer ce chiffre misérable.
Le responsable principal de ce désengagement des salariés serait plutôt le manque de combativité des syndicats qui se fonctionnarisent et se bâillonnent dans la corruption.
Extraits du livre
Mardi 27 mai 2008 à 20:24
Quand le taux plein est atteint (160 trimestres côtisés ET validés), le montant minimum de la retraite versé par la sécurité sociale est de 579.85 euros/mois. Le taux plein est acquis d'office à l'âge de 65 ans.
A cela s'joutera une petite somme de la retraite complémentaire (Arrco pour la majorité des salariés du privé).
Mercredi 30 janvier 2008 à 0:20
Le cancer ne cesse de s'étendre et il nous frappe de plus en plus jeune
Aujourd' hui,
1 femme sur 3 et 1 homme sur 2 aura un cancer.
Quant au conseil de l'Europe, lui, il s'est couché face aux lobbys industriels en autorisant des substances cancérigènes dans nos produits de consommation (on se souvient de cette fameuse liste qui identifiait toutes les substances industrielles dangereuses à faire disparaitre. Cette liste sous la pression de l'argent roi fut finalement réduite.). Pour servir le business on accepte donc ouvertement de nous empoisonner; bein oui, c'est pour favoriser le plein emploi et notre sainte croissance.
De toute façon quand les services d'urgence ne sont plus capables de répondre correctement à l'affluence des malades et que l'Etat n'est pas capable de payer l'intégralité des heures travaillées par le personnel des hôpitaux, on peux envisager ce qui nous attend...
Les services publics ne permettent pas de faire fortune. Pire, ils concurrencent le marché libéral. Mieux vaut faire du populisme et parler de baisse des impôts plutôt que de débattre sur comment mieux les utiliser. Ainsi, les caisses de l'Etat vidées, la faillite de ces services sera irrécupérable.
Samedi 8 décembre 2007 à 14:08
Travailler plus pour gagner plus
quel rêve, les français ont su voter
vous travaillerez plus et vivrez moins
quelle réalité, les français savent souffrir
750euros, le seuil de pauvreté
1000 euros pour bien vivre?
20% de logements sociaux?
un tiers des communes respecte ce taux
les travailleurs précaires toujours multipliés
leur salaire à l'année sous le seuil de pauvreté
les français votent tranquilité
la sécurité nettoie l' pavé
vive la France et ses vaux de français
ils sont si joueurs
ils aiment le grand spectacle
ces bouffons qui les endorment
et le crédit pour consommer
travailler plus, embaucher moins
le bizz du roi malin
moins d'impôts moins d'Etat
au diable les gens d'en bas
ignorons la pauvreté
elle n'empêche pas d'avoir du PIB
imitons l'anglosaxon
le riche y est si riche
L'Etat n'a plus de fric
sauf pour les guerres ... bizz au traffic
travailler plus pour gagner plus
les retraités révisent leurs cours
restos du coeur pour travailleurs
Jeudi 4 octobre 2007 à 14:03
Un site, Geonumbers.com, travaille pour trouver tous les numéros fixes qui aboutissent au même service que les numéros surtaxés des entreprises ou administrations comme la Sécurité sociale, les banques, SNCF, Air France ou les ASSEDIC. Ce site subissant de nombreuses pressions a dû, pour le moment, cesser de communiquer ces numéros de téléphone mais poursuit son combat pour lutter contre les numéros surtaxés.
Leur combat semble commencer à porter ses fruits car certaines administrations comme la Sécurité Sociale, l'UNEDIC-ASSEDIC, les Douanes et les Impôts promettent de remplacer leur numéro surtaxé par un numéro à tarif France Télécom (01).
Samedi 29 septembre 2007 à 14:48
"La France est en situation de faillite" nous dit notre 1er ministre, mais alors pourquoi les impôts sur le revenu et sur les grandes fortunes sont ils en baisse?
L' impôt sur le revenu est pourtant le seul légitime puisqu'il est proportionnel au montant des revenus; il est le liant d' un peuple solidaire, seul capable d' enfanter une Nation digne de ce nom et de maintenir la paix sociale en son sein.
L' impôt sur les grandes fortunes et tous les autres impôts indirectes comme la TVA ou directe comme les impôts locaux, leur existence est la preuve que l'impôt sur les revenus est sous utilisé. Car si les barèmes étaient bien établis, il n' y aurait pas besoin de nous taxer de nouveau.
De plus, ces impôts sont injustes puisque non proportionnels aux montants des revenus. Ainsi, on peut constater des pauvres, victimes des surenchères immobilières, payer l' impôt sur les grandes fortunes à cause de la nouvelle valeur de leur demeure. Qu' a d' ailleurs changé la réforme de cet impôt sinon d' élever le montant du capital minimum imposable? Ainsi, si la valeur de la demeure d'un pauvre ou d'un salarié moyen atteind ce montant, il devra encore payer cet impôt sur les grandes fortunes ou alors quitter sa zone d' habitation devenue réservée aux riches.
A croire que l'impôt sur les grandes fortunes et l' impôt foncier (qui fonctionne également sur la valeur de la demeur et de l'évaluation de ses commodité/confort comme la proximité de magasins ou l' acquisition d'une piscine) n'étaient faits que pour empêcher les citoyne(ne)s de gagner en confort de vie et de se constituer un capital...
L'impôt n'a qu'une raison d'être, permettre l' Etat de financer sa défense face à d' éventuels agresseurs, faire régner la justice face à d' éventuels escrocs, meurtriers, délinquants etc et permettre à tout citoyens de cet Etat à bénéficier des soins de santé d' un toit et de l'énergie vital pour se chauffer et se nourir (d'où la CMU et le RMI très récents, la sécurité sociale, les ASSEDIC, les caisses de retraite etc) .
Et seul l' impôt sur le revenu, ainsi que les quotisations directement prélevées sur fiche de paie par taux sont capables de collecter ces ressources de façon juste et efficace.
Ensuite peuvent être appliquées des taxes pour compenser des dépenses causée par des consommation ou usage particulier comme la taxe sur le tabac pour financer les maladies causées par sa consommation, les péages sur autoroute pour financer son entretien, les carburants qui devrait financer les recherches pour trouver des énergies moins polluantes et financer les maladie provoquer par leur pollution et participer à l'entretien et la création des routes etc...
Tout ça pour dire que si l'on juge un Etat en situation de faillite on ne diminue pas les recettes collectées de façon juste pour augmenter celles qui sont injustes Messieurs les politiques.
Et vous pourrez toujours prétendre craindre de voir les fortunés quitter notre Etat, ce n'est pas une excuse. Car l' Europe, si elle se voulait sociale et juste par les politiques, ignorerait cet argument révélateur de l' hypocrisie d'une minorité qui ne cherche que l'enrichissement personnel et non le bien être de la communauté toute entière.
Avant de parler de réformer la constitution les politiques feraient bien de faire appliquer notre devise Républicaine :
Lundi 16 juillet 2007 à 8:17
J'ai reçu il y a peu la grille salariale de la société où je travaille.
Comme chaque année, l'ensemble des salariés bénéficient d' une augmentation salariale. Cette fois-ci, il y a deux augmentations : 3% en avril et 1% ce mois de juillet.
Et en repensant aux analyses qui dénnoncent l'écart grandissant entre les riches et les pauvres, une réponse aux raisons de cette inégalité sociale me saute aux yeux.
Le taux d'augmentation étant le même pour chaque salaire, plus le salaire est important, plus la part d'augmentation va s'accélérer et les différences salariales croître au fil des années.
Bon, dit comme ça, ce n'est pas très clair. Alors voici un exemple: Avant avril 2007 les coef. 150 avaient un salaire brut de 1375.26 euros et les coef. 160 1454.33 euros. La différence de salaire entre ces deux coef. étaient donc de 79 euros 07.
En avril, avec l'augmentation de 3% cette différence passe à 81 euros 44 soit, un écart approfondie de 2 euros 37. Vous l'avez compris, chaque augmentation annuelle augmentera cet écart.
Pourtant les statuts et charges de travail de chacun ne changent pas en proportion. Il y a donc un manque d'équilibre dans ce système d'augmentation des salaires et il ne faut donc pas s'étonner de voir les inégalités salariales se creuser d'avantage chaque année.
Pour ne pas aggraver ces inégalités salariales, il faudrait que les taux d'augmentation ne soient pas les mêmes pour tous les salaires. Mais bien sûre cela demande un travail supplémentaire de calcul. Mais c'est la condition ultime pour ne pas voir des employés avec des salaires de plus en plus en dessous du coût de la vie et produire des pauvres de plus en plus pauvres et des riches de plus en plus riches.
Vendredi 29 juin 2007 à 20:54
Alors que la Chine tente timidement d' améliorer sa politique sociale (interdiction de poursuivre un CDD plus de 3ans, obligation d'embaucher en CDI un salarié qui a 10ans d' ancienneté ), des entreprises étrangères se plaignent déjà de l'augmentation du coût salarial que ces mesures impliqueraient.
Ces entreprises qui se disent contraintes de délocaliser pour vaincre la concurrence de pays à la main d'oeuvre bon marché, comme la Chine justement, devraient plutôt se réjouir de voir ce coût salarial se rapprocher de celui des Européens et de voir ces salariés chinois améliorer leur condition. Mais sans doute ces mêmes entreprises préfèreraient voir une évolution des conditions des salariés dans le monde à la baisse pour pouvoir augmenter leurs bénéfices et s'acheter, comme ces riches des pays du golf lors du salon du Bourget cette année, des avions particuliers à plusieurs millions d' Euros.
Dimanche 27 mai 2007 à 21:51
Vendredi 16 mars 2007 à 21:36
Les libéraux nous chantent le pessimisme en nous disant que l'entreprise doit faire face à la concurence internationale. Mais dans le même temps ce qu'ils ne disent pas c'est que cette concurrence, cette mondialisation c'est eux même qui l'on voulue pour pouvoir faire toujours plus de bénéfices en abaissant toujours plus le coût de leur production sur le dos des salariés. La bourse, elle, excepté quelques crashs dûs aux excès de spéculations (pourtant théoriquement interdites mais toujours de mise), est toujours positive et les gros actionnaires s'enrichissent toujours autant grâce aux richesses détournées du fruit des salariés.
Résultat, après avoir enrichi les entreprises, le salarié doit choisir entre le chômage ou les conditions de vie d'un chinois, d'un indien ou autre citoyen de pays en voie de développement et au niveau social bien inférieur au nôtre.
Sarkozy peut toujours nous dire que si l'on n'arrive plus à vivre de notre salaire nous n'avons qu'à travailler plus encore, quand le travail disparait je décris celà comme de la provocation voir de l'irréalisme et surtout du manque de solidarité vis à vis de ceux pour qui le monde du travail ne donne pas de place.
Si je ne pensais pas au vote utile je revoterais Besancenot mais hélas les droites capitalistes gagnent du terrain ce qui me fait dire que la vie est vraiment une jungle où les sociétés ont beau être bâties, l'homme animal fini toujours par ressurgir.
Mercredi 21 février 2007 à 13:32
Mercredi 21 février 2007 à 13:24
Lundi 12 février 2007 à 19:32
"On ne pourra maintenir longtemps un système qui consiste, en réalité, à laisser les gens faire pratiquement tout ce qu'ils veulent"
«Aucune civilisation n'a duré quand elle acceptait la fracture sociale des exclus.»
Samedi 16 décembre 2006 à 0:11