Nous fourmillons, nous rêvons, nous usinons.... La vie grouille de vies et pourtant... La solitude nous ronge, cette angoisse de finir seul, entouré d' apparats de belles frusques et de bonne chair. Les mots qui nous flâtent autant qu'ils nous perdent quand la pensée y est absente, la courtoisie hypocrite comme incantatrice pour se faire ami, pour être dans le groupe, être ami des collègues, des voisins, des amis, de l'autre, du virtuel...
Hier une amie chère veux en finir avec cette solitude et cet amour néant. Complimentée à ras bord, séduite à tout ruiner mais toujours seule.
Elle a donné la vie mais elle ne veux plus de la sienne, de ses nons sens. Elle prévoit l' instant final de sa vie, sur commande, SA commande.
Si la vie n' entend pas son amour, elle va l' inventer ailleurs. Comme cet homme d'un autre siècle qui, d'une annonce mortuaire, invita l' autre à le rejoindre pour l' ultime union avant le dernier souffle, comme une nuit sans lendemain que la vie lui a trop donnée. La quarentaine est un âge pourtant vert encore et plein d' avenir, de promesses. Mais elle ne veux plus attendre, plus la force de souffrir d'avantage de mensonges, de belles paroles jamais pensées. Pensées, ses plaies le sont sans cesse mais aujourd' hui elle ne veut plus.
Que faire quand les kilomètres nous séparent tant? Comment la retenir à travers juste un combiné? Ce soir nous allons reparler... j'espère trouver les mots, j' ai peu à lui offrir sinon mon affection profonde. Mais si loin, à quoi servent mes sentiments pour sa vie de tous les jours quand ne la soulage plus assez la pensée de ses enfants?
La vie grouille parmis les vies, tout l'monde se croise, tout l'monde se r'garde, s' écoute mais combien se touchent? La vitesse n' est qu'une ivresse de détresse, elle n'est qu'une fuite pour échapper aux détails. Trop d'infos tuent l'info dit-on et bien je me demande si trop de vies ne tueraient pas la vie, comme la masse tue l'individu. Des vies concentrées les unes sur les autres au profit de spéculations.
j' ai des amis mais je suis seul, je suis seul mais mes contacts sont surlistés.
Hier une amie chère veux en finir avec cette solitude et cet amour néant. Complimentée à ras bord, séduite à tout ruiner mais toujours seule.
Elle a donné la vie mais elle ne veux plus de la sienne, de ses nons sens. Elle prévoit l' instant final de sa vie, sur commande, SA commande.
Si la vie n' entend pas son amour, elle va l' inventer ailleurs. Comme cet homme d'un autre siècle qui, d'une annonce mortuaire, invita l' autre à le rejoindre pour l' ultime union avant le dernier souffle, comme une nuit sans lendemain que la vie lui a trop donnée. La quarentaine est un âge pourtant vert encore et plein d' avenir, de promesses. Mais elle ne veux plus attendre, plus la force de souffrir d'avantage de mensonges, de belles paroles jamais pensées. Pensées, ses plaies le sont sans cesse mais aujourd' hui elle ne veut plus.
Que faire quand les kilomètres nous séparent tant? Comment la retenir à travers juste un combiné? Ce soir nous allons reparler... j'espère trouver les mots, j' ai peu à lui offrir sinon mon affection profonde. Mais si loin, à quoi servent mes sentiments pour sa vie de tous les jours quand ne la soulage plus assez la pensée de ses enfants?
La vie grouille parmis les vies, tout l'monde se croise, tout l'monde se r'garde, s' écoute mais combien se touchent? La vitesse n' est qu'une ivresse de détresse, elle n'est qu'une fuite pour échapper aux détails. Trop d'infos tuent l'info dit-on et bien je me demande si trop de vies ne tueraient pas la vie, comme la masse tue l'individu. Des vies concentrées les unes sur les autres au profit de spéculations.
Espèrons qu'elle ne finira pas comme d'autre que je connaissais...