Les libéraux nous chantent le pessimisme en nous disant que l'entreprise doit faire face à la concurence internationale. Mais dans le même temps ce qu'ils ne disent pas c'est que cette concurrence, cette mondialisation c'est eux même qui l'on voulue pour pouvoir faire toujours plus de bénéfices en abaissant toujours plus le coût de leur production sur le dos des salariés. La bourse, elle, excepté quelques crashs dûs aux excès de spéculations (pourtant théoriquement interdites mais toujours de mise), est toujours positive et les gros actionnaires s'enrichissent toujours autant grâce aux richesses détournées du fruit des salariés.
Résultat, après avoir enrichi les entreprises, le salarié doit choisir entre le chômage ou les conditions de vie d'un chinois, d'un indien ou autre citoyen de pays en voie de développement et au niveau social bien inférieur au nôtre.
Sarkozy peut toujours nous dire que si l'on n'arrive plus à vivre de notre salaire nous n'avons qu'à travailler plus encore, quand le travail disparait je décris celà comme de la provocation voir de l'irréalisme et surtout du manque de solidarité vis à vis de ceux pour qui le monde du travail ne donne pas de place.
Si je ne pensais pas au vote utile je revoterais Besancenot mais hélas les droites capitalistes gagnent du terrain ce qui me fait dire que la vie est vraiment une jungle où les sociétés ont beau être bâties, l'homme animal fini toujours par ressurgir.