20 jours après l'infiltration sous radio dont je vous ai parlé ici, mon hernie discale est toujours bien présente. Ces 6 piqûres dont les deux premières furent douloureuses (ma jambe gauche s'est propulsée d'elle même en l'air à la prmière injection, impressionnant!), ne m'ont procurées aucune amélioration, je ne peut toujours pas marcher sans sentir ma jambe gauche s'engourdir suivie e contraction dans la cuisse et toujours cette douleur à la hanche gauche quoi que je fasse. Trois infiltrations donc pour un résultat néant.
Quand je pense qu'aux contrôles de la sécurité sociale, les médecins conseils (excepté un) trouvaient leur examen normal et ne détectaient aucun problème particulier. Aucun n' a su localiser le point de douleur alors que ma seconde rumathologue l' a non seulement détecté en palpant de ses mains mais a su, à partir de là, me dire qu'elle vertèbre était concernée.
Aujourd'hui, non seulement je ne peux toujours pas reprendre le travail, mais un staff de neurochirurgien avec ma rumatologue vont se réunir à l'hôpital Cochin où elle est rattachée, pour étudier la faisabilité d'une intervention chirurgicale. Car ayant déjà été opéré d'une double scoliose, ma colonne ne dispose plus que de deux disques encore mobiles et une intervention supplémentaire sur ces disques est de ce fait très déliquat.
Voilà encore une expérience qui me fait craindre la rentabilité et l' économie à tout prix. Où les examens sont survolés au dépend de notre santé. Comme ces chiffres du chômage que l'on s' efforce de réduire artificiellement en envoyant les chômeurs dans des formations souvent stériles qui n'apportent aucune qualification reconnues par les entreprises.
En conclusion, quand il s'agit de votre santé, ne vous laissez pas intimider ni culpabiliser, n'hésitez jamais à dire que vous souffrez et à exiger un examen approfondi (pour mon cas c'est de cette façon que j'ai pu obtenir un premier scanner qui a prouvé que j'avais bien une hernie). Et si ma femme en avait fait autant, sa tumeur au cerveau aurait été découverte en 2000 et non en 2006 et sa vue serait indemne aujourd'hui.
Quand je pense qu'aux contrôles de la sécurité sociale, les médecins conseils (excepté un) trouvaient leur examen normal et ne détectaient aucun problème particulier. Aucun n' a su localiser le point de douleur alors que ma seconde rumathologue l' a non seulement détecté en palpant de ses mains mais a su, à partir de là, me dire qu'elle vertèbre était concernée.
Aujourd'hui, non seulement je ne peux toujours pas reprendre le travail, mais un staff de neurochirurgien avec ma rumatologue vont se réunir à l'hôpital Cochin où elle est rattachée, pour étudier la faisabilité d'une intervention chirurgicale. Car ayant déjà été opéré d'une double scoliose, ma colonne ne dispose plus que de deux disques encore mobiles et une intervention supplémentaire sur ces disques est de ce fait très déliquat.
Voilà encore une expérience qui me fait craindre la rentabilité et l' économie à tout prix. Où les examens sont survolés au dépend de notre santé. Comme ces chiffres du chômage que l'on s' efforce de réduire artificiellement en envoyant les chômeurs dans des formations souvent stériles qui n'apportent aucune qualification reconnues par les entreprises.
En conclusion, quand il s'agit de votre santé, ne vous laissez pas intimider ni culpabiliser, n'hésitez jamais à dire que vous souffrez et à exiger un examen approfondi (pour mon cas c'est de cette façon que j'ai pu obtenir un premier scanner qui a prouvé que j'avais bien une hernie). Et si ma femme en avait fait autant, sa tumeur au cerveau aurait été découverte en 2000 et non en 2006 et sa vue serait indemne aujourd'hui.
Rappelez vous toujours que la santé n'a pas de prix et que le libéralisme ambiant ne doit pas sacrifier nos vies.